Tous les articles correspondant à #Littoral

Le littoral gabonais est en péril. À Libreville, qui concentre avec Port-Gentil plus de 60% de la population, l’érosion marine progresse à une vitesse inquiétante, menaçant habitations, infrastructures et écosystèmes. Entre extraction abusive de sable, pollution plastique et destruction des mangroves, les causes sont multiples. Reportage.

Ce jeudi 15 mai 2025, le littoral de Dar Bouazza s’est réveillé au son des pelleteuses et des sirènes des forces de l’ordre. En quelques heures, les emblématiques restaurants de plage – certains installés depuis plus de trente ans – ont commencé à tomber, pierre après pierre, dans le cadre d’une vaste opération de récupération du domaine maritime. Ce coup de force, attendu, marque la fin d’un modèle de développement balnéaire toléré des décennies durant, au nom du tourisme et de l’emploi. Désormais, l’État impose un nouveau cap: celui de la légalité stricte, quitte à effacer une part de la mémoire affective du littoral casablancais. Reportage.

Alors qu’il est attendu au tournant par l’opposition sur la question de la récupération du domaine public maritime, le ministre de l’Équipement et de l’eau semble confronté à de grandes difficultés qui l’empêchent de réussir son défi. Une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

La longue route côtière de Rabat, serpentant le long de l’Atlantique, a vu affluer ce lundi une foule de visiteurs venus profiter d’une éclaircie tant attendue après plusieurs jours de pluie incessante.

La mise en œuvre de la loi sur la protection du littoral marocain est bloquée sous la pression de lobbies, malgré des études coûteuses commandées par la ministre de la Transition Énergétique et du Développement Durable, Leila Benali. Le texte vise à lutter contre l’occupation illégale du domaine maritime, la privatisation des plages et l’extraction du sable. Mais le ministère est incapable de faire appliquer la législation. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

À Bargny, une localité côtière de la région de Dakar, l’eau grignote petit à petit les derniers mètres de terre ferme où subsistent quelques familles démunies. Un drame humain et écologique se joue sous nos yeux.

À Rabat, il n’y a pas que les nombreuses plages où les estivants viennent se réfugier en ces jours de fortes chaleurs. La corniche de la capitale, qui s’étend le long du littoral, devient chaque jour le théâtre d’un spectacle enchanteur: le coucher du soleil, attirant des centaines de visiteurs.

Des déversements accidentels d’eaux parasites ont été constatés, le week-end écoulé, au niveau de l’exutoire des eaux pluviales situé à la plage d’Oued Merzeg, relevant de la commune de Dar Bouazza. Dès la prise de connaissance de cet incident, Lydec affirme avoir immédiatement dépêché ses équipes opérationnelles sur place pour engager les mesures nécessaires, afin d’intercepter ces rejets et en déterminer l’origine.

Les nouvelles autorités sénégalaises ont arrêté toutes les constructions sur le littoral de la capitale du pays, en attendant de vérifier la légalité des autorisations. Cette décision est vivement saluée par les Dakarois qui souhaitent qu’on leur rende leur littoral, défiguré par les constructions d’immeubles, d’hôtels et de restaurants.