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Après plusieurs années de sécheresse, les sources d’eau de la province d’Ifrane enregistrent une reprise spectaculaire. Grâce aux récentes précipitations et chutes de neige, des zones autrefois asséchées retrouvent leur vitalité, offrant un nouvel espoir aux habitants et aux défenseurs de l’environnement. Mais cette embellie reste fragile, soulignant l’urgence d’une gestion durable des ressources hydriques.

Les récentes pluies printanières ont considérablement amélioré la situation hydrique au Maroc, après une longue période de sécheresse. Au 21 avril 2025, les barrages marocains atteignent un taux de remplissage de 40,1%, soit 6.718 millions de m³, en hausse de 2.000 millions de m³ en deux mois. Les principaux bassins du pays ont vu leurs niveaux remonter, réduisant le stress hydrique à un niveau modéré. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Les dernières pluies vont assurer au Maroc des réserves d’eau suffisantes pour couvrir sa consommation sur une période d’une à trois années, a assuré, Nizar Baraka, ministre de l’Équipement et de l’Eau, ce mardi 15 avril, la Chambre des conseillers.

Les dernières précipitations qu’a connues Tanger ont permis de reconstituer les réserves d’eau des barrages collinaires situés au tour de la ville, dont celui de Boukhalef 2.

Le taux de remplissage des barrages atteint 29,56% au 11 mars, contre 26% à la même date l’an dernier. Un gain estimé à 781 millions de m³. Les détails, en chiffres.

Au Maroc, certains clubs assurent rapidement leur maintien et, faute de motivation, terminent en roue libre. Ce qui fausse toute la compétition et porte un coup à sa crédibilité.

Le taux de remplissage des barrages du bassin hydraulique de Sebou atteint 36,47%, avec des disparités selon les infrastructures, certains barrages dépassant 70% tandis que d’autres restent bien en dessous. Le barrage Al Wahda, essentiel pour l’irrigation et la prévention des crues, affiche un taux de 38,50%. Cet article est une revue de presse tirée de L’Economiste.

Les travaux d’interconnexion entre les barrages Oued El Makhazine et Dar Khrofa sont réalisés à hauteur de 96%. Ce projet, doté d’un budget de 840 millions de dirhams, ambitionne de sécuriser l’approvisionnement en eau potable de Tanger et de ses environs, tout en soutenant les activités agricoles irriguées dans la région de Dar Khrofa. Sa mise en service est prévue dans les semaines à venir.

Dans son rapport annuel au titre de 2023-2024, la Cour des comptes a fait la liste des risques susceptibles de freiner la mise en œuvre des grands chantiers pour lutter contre le stress hydrique.