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La Banque mondiale a approuvé un nouveau financement de 70 millions dollars pour le Maroc, destiné à renforcer la stratégie de protection sociale inclusive et adaptative du gouvernement.

Avec l’approbation d’une enveloppe massive de 250 millions de dollars par la Banque mondiale, le Maroc franchit un cap important dans la modernisation de la gestion de ses déchets. Cet investissement vise à relever des défis environnementaux pressants, mais sera-t-il suffisant? Une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

La Banque mondiale (BM) vient de commander une expertise auprès de l’Observatoire national de développement humain (ONDH) afin d’évaluer le déroulement et les résultats des initiatives sociales consacrées à la couverture sociale, au soutien direct aux personnes démunies, et à l’éducation.

La Banque mondiale a approuvé, mardi, le Programme d’appui à la gestion des déchets ménagers et assimilés au Maroc, d’un montant de 250 millions de dollars. Objectif: renforcer les performances financières et environnementales du secteur en soutenant les investissements et les réformes prioritaires.

La Banque mondiale prévoit de mobiliser de nouveaux financements à hauteur de 1,8 milliard de dollars pour soutenir le secteur agricole, la gestion des déchets solides municipaux, le renforcement du capital humain et la protection sociale, la résilience climatique et la gestion des catastrophes, ainsi que le secteur de la justice. Une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Découvrez les 10 pays africains figurant parmi les principaux emprunteurs de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’Association internationale de développement (IDA) pour l’exercice 2024. Ces deux institutions relèvent de la Banque mondiale.

La Banque mondiale, Goldman Sachs, Morgan Stanley et plusieurs autres institutions financières disent s’attendre à une baisse des cours du baril de pétrole sur le long terme. Une décrue qui ne manquera pas d’impacter négativement de nombreux pays africains producteurs mais surtout dépendants de l’or noir. À contrario, d’autres pays vont tirer profit de cette nouvelle donne qui favorisera la poursuite de la désinflation déjà observée.

La Société financière internationale (IFC) et l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), deux filiales du groupe de la Banque mondiale, accompagneront le port Tanger Med dans le financement du projet d’extension de son terminal camions et passagers. Un pool de banques internationales, mené par JP Morgan, soutient également ce projet.

Le dernier rapport de la Banque mondiale, en collaboration avec l’Observatoire marocain de la très petite, petite et moyenne entreprise (TPME), sur l’état du secteur privé au Maroc ne prête guère à l’optimisme. Une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.