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Le président de la Banque islamique de développement, Muhammad Sulaiman Al Jasser, a beau édulcorer ses propos et apporter ce qu’il a qualifié de «clarifications» au sujet du «prêt» subitement devenu une «mise à disposition» de 3 milliards de dollars pour financer le projet de la ligne ferroviaire Alger-Tamanrasset, la balle est tirée et fait l’effet d’un séisme dans un régime qui ne cesse de ressasser que la dette extérieure est une ligne rouge. Pour Abdelmadjid Tebboune, qui a fait du non-recours à l’endettement extérieur un totem, ce «prêt» de la BID est un cinglant désaveu.

La Centrafrique a rejoint 33 pays africains en adoptant le SGDD-a, qui constitue un niveau intermédiaire du FMI visant à standardiser les données macroéconomiques. Outre cette norme, il en existe deux autres : SGDD classique, qui constitue le niveau de base, et la NSDD, représentant le niveau d’exigence le plus élevé en matière de fiabilité des données publiées. Toutefois, ces normes techniques ne suffisent pas, à elles seules, à garantir l’intégrité des données.

C’est un coup de massue pour la politique économique de Donald Trump: l’agence Moody’s a abaissé vendredi la note des États-Unis, alors que les tensions liées à sa guerre commerciale, notamment avec la Chine, commençaient tout juste à s’apaiser.

Moody’s a maintenu la note Ba1 du Maroc avec une perspective stable, soulignant la solidité de ses institutions et la résilience de son économie. Malgré une dette publique en hausse, le pays bénéficie de flux financiers solides et d’une gestion budgétaire crédible. Pour atteindre une meilleure notation, il devra accélérer ses réformes et renforcer ses fondamentaux économiques. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Le Maroc a a choisi les banques d’investissement BNP Paribas SA, Citigroup Inc., Deutsche Bank AG et JPMorgan Chase & Co pour gérer et promouvoir la nouvelle sortie du Trésor sur le marché financier international.

Alors que l’Afrique entre dans une phase critique de recomposition politique, découvrez les enjeux d’un certain nombre de scrutins très attendus en 2025, et les risques associés.

Chez les institutionnels, la Banque mondiale, la BAD et la BEI se démarquent par l’ampleur de leur participation, avec des parts respectives de 42,5%, 22,8% et 14,8% de l’encours total. Sur le plan bilatéral, les États membres de l’Union européenne dominent largement, détenant 75,2% de la dette extérieure marocaine. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Les pays africains consacrent des montants sans cesse croissants au remboursement de leurs dettes extérieures. L’envolée de l’endettement, le recours toujours plus important à la dette privée et l’environnement défavorable des taux d’intérêt y sont pour beaucoup. Les montants remboursés constituent des goulots d’étranglement pour certains pays qui peinent à assurer le remboursement de leur service de la dette, même en sacrifiant les secteurs vitaux.

Selon les données de la Banque mondiale, le stock de la dette extérieure (publique et privée) des pays africains s’établit, à fin 2023, à plus de 1.154 milliards de dollars. Dix pays du continent s’accaparent 70% de ce fardeau qui pèse lourd sur leurs économies. La Banque mondiale, la BAD, le FMI, la Chine… figurent parmi les principaux créanciers publics.