Le parti sud-africain MK de Jacob Zuma reconnaît la souveraineté du Maroc sur le Sahara
C’est un revirement diplomatique majeur. Le parti sud-africain MK, mené par l’ancien président Jacob Zuma, vient de reconnaître officiellement à Rabat la souveraineté marocaine sur le Sahara, plaidant pour un soutien international accru au plan marocain d’autonomie proposé en 2007.
Maroc-Espagne: comment le PP et l’extrême-droite tentent vainement de semer la discorde
Alors que Rabat et Madrid consolident un partenariat stratégique, la droite et l’extrême-droite espagnoles tentent de raviver les vieux relents coloniaux. La nouvelle posture du Parti populaire sur le Sahara, jugée provocatrice par Rabat et contestée jusque dans les Canaries, comme les attaques du parti Vox contre les Marocains d’Espagne, menacent de fragiliser les acquis laborieusement construits entre les deux voisins. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Représentation politique des MDM: où en est-on?
Alors qu’ils représentent près de 10% de la population, les Marocains résidant à l’étranger peinent encore à peser politiquement. Si le gouvernement reconduit l’obligation pour les partis de réserver une place de choix aux femmes de la diaspora, beaucoup dénoncent une mesure avant tout symbolique, loin d’une véritable représentation. Cet article est une revue de presse tirée du magazine Jeune Afrique.
Aide sociale directe: vers une révision des critères d’éligibilité pour plus d’équité
Le gouvernement envisage une refonte des modalités d’attribution de l’aide sociale directe afin d’en améliorer la justesse et l’inclusivité. Fouzi Lekjaa, ministre délégué chargé du Budget, a évoqué cette réforme lors d’une séance parlementaire, soulignant l’importance d’une transparence absolue et d’une meilleure adéquation aux réalités socio-économiques des bénéficiaires. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Nadia Hai, ambassadrice de France à la Méditerranée: «Poursuivre l’écriture de cette histoire commune initiée par le roi Mohammed VI et Emmanuel Macron»
Nommée en juin dernier ambassadrice et déléguée interministérielle à la Méditerranée, Nadia Hai effectue ce mardi son premier déplacement officiel au Maroc. Dans cet entretien, elle exprime sa volonté de renforcer l’excellence des relations entre la France et le Royaume.
14 Juillet à Rabat: sous le signe de l’amitié entre deux nations décidées à «faire grand»
Sur la pelouse de la Résidence de France, plus de 2.500 invités ont célébré une fête nationale placée sous le signe du renouveau. À Rabat, diplomates et responsables ont promis d’écrire un «nouveau livre» pour renforcer l’amitié franco-marocaine. Ambiance.
Pesticides au Maroc: un usage «contrôlé et sans risque» selon le gouvernement, la gauche sceptique
Face aux inquiétudes exprimées par la députée Nabila Mounib sur les effets des pesticides utilisés dans l’agriculture, le ministre de l’Agriculture, Ahmed Bouari, a opposé une fin de non-recevoir ce lundi au Parlement. Selon lui, les produits phytosanitaires employés au Maroc sont strictement contrôlés et sans danger pour la santé des consommateurs.
Fès-Meknès: des marchés publics d’une valeur de plus de 60 millions de dirhams sous la loupe de la Cour régionale des comptes
Des marchés publics, malignement attribués par des modalités d’exécution de bons de commande par des collectivités territoriales, sont épluchés par les magistrats de la Cour régionale des comptes de Fès-Meknès. Explications dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.
Comment l’USFP a achevé ce qui restait de la gauche
Présentée comme un nouveau départ pour la gauche marocaine, la tentative de rapprochement entre l’USFP et le PPS tourne court, révélant les vieux démons d’un parti socialiste englué dans ses querelles internes et son obsession du leadership. Entre calculs politiciens, victimisation et incapacité à fédérer, l’USFP confirme surtout qu’il reste son principal obstacle. Cet article est une revue de presse tirée du magazine Jeune Afrique.
Abdelilah Benkirane de nouveau épinglé pour ses propos rétrogrades envers les femmes
Une nouvelle fois, l’ancien chef du gouvernement marocain et leader du Parti de la Justice et du Développement (PJD), Abdelilah Benkirane, suscite la controverse. Ses récentes déclarations, jugées dénigrantes envers les Marocaines, provoquent un tollé au sein des mouvements féministes marocains, qui dénoncent un discours qu’ils estiment en rupture avec les acquis constitutionnels et sociétaux du pays. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.