L’essai de Beatriz Mesa explore les rouages de l’économie criminelle dans la région sahélienne malienne, mettant en lumière les stratégies déployées par les groupes terroristes pour consolider des réseaux mafieux complexes. Ces réseaux, gangrenés par des trafics multiples -drogues, armes, razzias humaines et kidnappings- s’insèrent dans un système organisé, où la terreur devient à la fois un moyen et un outil pour perpétuer une économie souterraine.