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Les Bourses piquent du nez de concert jeudi en Asie, sur des marchés s’inquiétant du risque d’implication des États-Unis dans la guerre entre Israël et l’Iran, tout en digérant l’abaissement des perspectives économiques de la Réserve fédérale américaine (Fed).

Les Bourses en Asie ont trébuché de concert vendredi, tandis que le dollar fléchissait, dans des marchés tourmentés à nouveau par les incertitudes commerciales après l’éphémère répit apporté la veille par une décision judiciaire contestant les surtaxes douanières américaines.

Le rapport Africa’s Pulse de la Banque mondiale dessine une Afrique subsaharienne à trois vitesses: les pays réformateurs qui capitalisent sur une gouvernance monétaire crédible, les économies fragiles qui peinent à juguler les crises de change et les «autres», notamment les pays en situation intermédiaire où l’inflation recule mais reste élevée, ou ceux en pause monétaire.

Alors que l’inflation menace les équilibres sociaux, la Banque mondiale exige des réponses urgentes et coordonnées des économies africaines. Le volume 31 du rapport Africa’s Pulse détaille les stratégies pour concilier rigueur monétaire et justice fiscale.

La libéralisation du régime de change du Dirham suit une transition maîtrisée, renforçant la résilience économique et la flexibilité monétaire. Grâce à l’élargissement des bandes de fluctuation et à la création d’un marché à terme de change, les entreprises disposent de nouveaux outils pour gérer le risque de change. Cet article est une revue de presse tirée de Finances News.

Le Maroc s’apprête à engager une réforme monétaire décisive: la flexibilisation du dirham. Présentée comme un Armageddon par certains, une réforme nécessaire par d’autres, la transition vers un taux de change flottant impactera pouvoir d’achat, exportations et stabilité financière. Entre risques d’inflation et opportunités pour les exportateurs, le pays devra jouer à l’équilibriste. Décryptage d’un tournant crucial.

A l’instar des années passées, de nombreuses monnaies des grands pays africains se sont dépréciées face au dollar américain. Crise économique, pénurie de devises, inflation, politiques monétaires, existence d’un marché parallèle de devise plus puissant… sont autant de facteurs qui expliquent les fortes dépréciations de certaines monnaies africaines, avec des conséquences néfastes sur les prix. Toutefois, certaines monnaies ont affiché de fortes résiliences face au billet vert. Voici les comportements des principales monnaies africaines en 2024.

L’enthousiasme dont a fait preuve le président Tebboune lors d’une visite à Moscou en juin 2023, en se montrant favorable à une nouvelle monnaie Brics et à une dédollarisation rapide de l’économie mondiale, va désormais coûter cher à l’Algérie. Et pour cause, Donald Trump a tout récemment menacé les pays partisans du Brics, affirmant que toute tentative de remplacement du dollar les exposerait à des droits de douane de 100% et à une interdiction d’accès au marché américain. Visiblement embarrassé, le général Chengriha n’a d’autre choix que de demander pardon au nouveau locataire de la Maison Blanche.

Le rachat anticipé de 290 millions de dollars d’Eurobond 2025 par le Gabon a été rendu possible grâce au soutien technique et financier d’Attijariwafa bank, via sa filiale locale et des partenariats stratégiques.