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Deux premiers nanosatellites universitaires marocains, «UM5-EOSat» et «UM5-Ribat», ont été lancés récemment par le Falcon 9 de la société SpaceX, depuis la base américaine de Vandenberg en Californie (USA).

Les fusées Falcon 9 de SpaceX se retrouvent hors service, le temps d’une enquête conduite par régulateur américain de l’aviation (FAA). Motif: l’échec de la mission de l’une d’entre elles, qui a été dans l’incapacité de placer des satellites en orbite comme prévu.

En prévision de la saison chaude, synonyme de risque d’incendies, l’Agence nationale des eaux et forêts, dirigée par Abderrahim Houmy, s’est dotée d’une batterie d’équipements modernes.

Deux images de la NASA portant sur la même zone de la région casablancaise montrent l’aggravation de la sécheresse au Maroc cette année. La première a été prise le 12 février 2023 et la deuxième, presque un an jour pour jour plus tard, le 19 février 2024.

Après les satellites Mohammed-VI A et B, lancés respectivement en 2017 et 2018, le Maroc s’apprête à en placer deux autres en orbite. Pour ce faire, le choix s’est porté cette fois sur l’Israélien Israel Aerospace Industries (IAI), au détriment de la France et du consortium formé par Airbus et Thales Alenia Space, à l’origine des satellites précédents. Enseignant en économie à Sciences Po Paris et expert du secteur spatial, Mathieu Luinaud en explique les raisons.

Alors le duo français formé par Thales et Airbus espérait remporter une nouvelle fois ce marché, le Maroc a finalement opté pour une technologie israélienne dans le choix de son nouveau satellite d’observation, le troisième du genre après ceux lancés successivement en 2017 et 2018.

L’Agence spatiale égyptienne a procédé, le lundi 4 décembre, au lancement réussi d’un satellite de télédétection, MisrSat-2. La particularité de celui-ci est qu’il a été assemblé et testé en Egypte. Une première pour le pays et en Afrique. Ce satellite, mis en orbite le 4 décembre en Chine, vise surtout à surveiller les effets des changements climatiques sur le pays des pharaons.

La Corée du Nord a envoyé des troupes à sa frontière méridionale pour rétablir les postes de garde démantelés dans le cadre d’un accord conclu avec la Corée du Sud en 2018, a déclaré l’armée sud-coréenne lundi.

La Corée du Nord a annoncé, dans la soirée du mardi 21 novembre, avoir réussi à mettre en orbite un satellite de reconnaissance. En réponse à ce qu’elle considère comme «une violation des résolutions de l’ONU», la Corée du Sud a partiellement suspendu un accord militaire la liant à Pyongyang.