En perte totale de vitesse contre le Maroc, la France ou encore le Mali, le régime d’Alger brandit la «mobilisation générale» comme un aveu de panique pour se dire prêt à tout, même au pire, pour sauver sa peau. Entre tensions régionales, isolement diplomatique et guerre en ligne de mire, Alger joue la carte du chaos. Un baroud d’honneur déguisé en loi, qui inquiète d’abord les Algériens.