Tous les articles correspondant à #Rabat-Salé-Témara

L’Agence nationale des eaux et forêts (ANEF) a profité de la journée internationale des forêts, célébrée vendredi 21 mars, pour rappeler l’engagement du Maroc à préserver et à assurer la durabilité de son patrimoine forestier, essentiel à l’équilibre écologique.

Au Conseil régional de Rabat-Salé-Kénitra, l’opposition est très virulente concernant le projet de soutien d’un projet culturel, présenté comme une promotion du caftan marocain. Une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

Rachid El Abdi, président du Conseil de la Région Rabat-Salé-Kénitra, vient d’allouer un budget conséquent pour combler le déficit de développement des petites villes et communes rurales.

Devant la recrudescence de ce phénomène, les autorités de la ville de Salé viennent de déclarer la guerre à l’occupation illégale du domaine public, notamment par les marchands ambulants et les cafetiers. Une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

Situé au sud du quartier industriel de Takaddoum, le nouveau marché de gros de légumes et fruits de Rabat, le plus moderne de son genre au Maroc, s’apprête à ouvrir prochainement ses portes.

Les travaux de construction de deux parkings souterrains dans le quartier de l’Océan, l’un des plus emblématiques de Rabat, progressent à un rythme soutenu. Reportage.

Le mégaprojet des autoroutes de l’eau venant des bassins du nord vers le barrage El Massira et la région de Chaouia, via la retenue du barrage Sidi Mohamed Ben Abdellah de Rabat, nécessiterait un investissement total de près de 40 milliards de dirhams, a appris Le360 de source informée.

Enfin, après plusieurs années d’attente, les autorités viennent de s’intéresser à l’état de la route nationale menant de Témara à Aïn Attiq, longue de 5 kilomètres, en lançant la première tranche des travaux d’agrandissement et de rénovation de cet axe routier, le plus fréquenté de la région avec l’autoroute allant à Casablanca.

Les conclusions d’une enquête sur des dysfonctionnements qui ont cours à Souk Essalihine, dont le budget d’investissement a pourtant nécessité le déblocage de 330 millions de dirhams, a été à l’origine de la brutale éviction de certains responsables de la préfecture de Salé. Une revue de presse d’Assabah.