Tous les articles correspondant à #Union africaine

Le Maroc catalyseur de la ZLECAF
Au cœur de la diplomatie économique marocaine, l’engagement en faveur de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF) occupe une place centrale. L’objectif est ambitieux: bâtir, à l’horizon 2063, un marché commun intégré reposant sur une transformation économique structurelle du continent.
L’Union africaine confirme et salue l’établissement au Maroc du siège du Comité des capitales de la culture du continent
Du 8 au 13 décembre 2025, se tenait au Burundi la cinquième session du Comité technique spécialisé de l’Union africaine sur la jeunesse, la culture et le sport. Au cours de ce grand rassemblement qui a réuni experts et ministres de la Culture des pays membres de l’Union africaine, la diplomatie culturelle marocaine a remporté une belle victoire et s’apprête à faire rayonner l’Afrique de la culture à travers le monde.
ZLECAf: 4 ans après, l’intégration économique africaine fait du surplace
La Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) ambitionne de fédérer 54 États autour d’un marché qui pourrait générer près de 450 milliards de dollars de revenus supplémentaires d’ici 2035 et faire sortir 30 millions de personnes de l’extrême pauvreté. Cependant, quatre ans après l’entrée en vigueur de l’accord, le décalage entre la vision politique et la réalité économique interroge. Décryptage.
L’œil de Gueddar. Quand Alger et son proxy frappent à une porte verrouillée depuis 2018
Sahara: Alger active deux instruments africains pour plaider «sa» cause… et essuie, à domicile, une double déconfiture
Ayant accueilli coup sur coup la Conférence internationale sur les crimes du colonialisme, initiative de l’Union africaine débouchant sur la Déclaration d’Alger, puis la 12ᵉ édition du Séminaire de haut niveau sur la paix et la sécurité en Afrique, l’Algérie a tout tenté pour imposer la question du Sahara dans l’agenda de l’UA. Mais l’opération s’est soldée par un double revers: aucune mention du Sahara n’a été intégrée à la Déclaration d’Alger et le Séminaire s’est conclu sans le moindre communiqué final, plusieurs pays du continent s’étant frontalement opposés à un nouveau coup de force du régime. Récit.
Alger détourne une conférence africaine pour relancer son narratif perdu sur le Sahara
Acculé par la résolution 2797 du Conseil de sécurité de l’ONU consacrant la prééminence du plan d’autonomie marocain et privé de tout levier au sein de l’Union africaine, le régime algérien a tenté un nouveau coup de force en instrumentalisant une conférence sur la criminalisation du colonialisme pour ressusciter artificiellement la question du Sahara. Une fuite en avant qui illustre l’isolement diplomatique d’un État voyou qui dévoie les causes sacrées de tout un continent au seul service de son agenda.
Ni vainqueur ni vaincu, le triomphe modeste du Maroc
Le Royaume aurait pourtant toutes les raisons de laisser exploser sa joie et sa fierté. Cinq décennies de guerres réelles, économiques et diplomatiques menées par un régime militaire algérien obsédé par l’idée de séparer le Maroc en deux, de le couper de ses racines africaines, de l’encercler par des lignes de front antagonistes. Alger y a consacré tous ses moyens, mobilisé toutes ses ressources financières et diplomatiques. Cette guerre larvée contre le Maroc a été érigée en priorité vitale, au prix du bien-être de sa propre population, condamnée à subir les frustrations économiques les plus aiguës, et au prix de sa jeunesse, sommée de choisir entre l’exil forcé et une vie de misère sans nom.
Comment Alger a sciemment marginalisé la Ligue arabe dans la fabrique de la cause sahraouie
Les télégrammes d’Alger et les notes de Matignon dévoilent la matrice d’une stratégie: contourner l’espace arabe, capitaliser sur l’OUA et l’ONU, et ériger le Polisario en acteur-écran. 1978–1979 marque l’instant où la fiction d’une «vraie réussite» prend le pas sur le réel.
Maroc–États-Unis: un atelier stratégique pour renforcer la sécurité et la coopération en Afrique
Du 19 au 22 août 2025 à Rabat, le Maroc a accueilli un atelier organisé par le Centre africain d’études stratégiques (CESA) réunissant 56 hauts responsables de 17 pays africains et des partenaires internationaux, dont l’AFRICOM. L’événement a permis d’explorer des solutions pour optimiser l’allocation des ressources dans les secteurs de la sécurité, renforcer la coopération régionale et lutter efficacement contre les menaces transfrontalières, dans le cadre du partenariat stratégique entre le Royaume et les États-Unis.
L’œil de Gueddar. Union africaine et Polisario: l’oubli partiel avant le rejet total