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Il y a des migrants économiques partout. Ils rêvent d’une vie meilleure. Mais cela ne signifie pas qu’ils vivent en plein cauchemar.

Le tribunal de première instance de Tétouan a condamné 53 prévenus, accusés d’incitation collective à la migration massive vers le préside de Sebta, à des peines de prison allant de 3 à 10 mois. La Cour a reporté l’audience pour statuer sur le sort d’autres inculpés, dont une ressortissante algérienne qui avait prétendu être de nationalité marocaine. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Malgré la multiplication des appels à un assaut massif sur Bab Sebta sur les réseaux sociaux, annoncé pour lundi 30 septembre, les autorités locales rassurent: aucun mouvement suspect n’a été enregistré et la nuit a été bien calme. La forte mobilisation des forces de l’ordre y est pour beaucoup. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.

Alors que de nouveaux appels à une migration collective vers Sebta ont été lancés pour ce lundi 30 septembre, les forces de l’ordre ont passé la nuit à finaliser la préparation d’un dispositif sécuritaire renforcé pour contrer d’éventuelles tentatives d’intrusion, à la nage ou par le point de passage de Tarajal.

Les autorités compétentes et les différents services sécuritaires du nord du Royaume sont actuellement fortement mobilisés, tout particulièrement à Fnideq et ses alentours, afin d’anticiper et de déjouer toute nouvelle tentative d’émigration clandestine massive vers le préside de Sebta. De nouvelles incitations à s’y rendre ont été relayées sur les réseaux sociaux. Une revue de presse d’Al Akhbar.

La cour d’appel de Tétouan a prononcé, lundi 23 septembre, des peines à l’encontre de cinq personnes accusées d’incitation à la «migration massive» vers le préside occupé de Sebta. Ces jugements font suite aux événements des 14 et 15 septembre à Fnideq.

Parmi les 152 personnes arrêtées pour avoir incité à émigrer clandestinement depuis des comptes sur différents réseaux sociaux vers le préside de Sebta, figurent des ressortissants algériens qui, bien souvent, étaient les leaders de ces agitateurs. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Les services de la police judiciaire ont interpelé dernièrement un individu de nationalité algérienne soupçonné d’incitation à l’immigration clandestine. Le mis en cause a été déféré devant le parquet qui a ordonné son placement en détention préventive dans la prison locale de Tétouan. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Akhbar.