Sous le feu nourri des critiques, notamment du Parlement européen, quant à l’affaire Boualem Sansal dont ils n’arrivent pas à se dépêtrer, les caporaux semblent ailleurs. C’est surtout le zellige (fassi, hein?) qui les obsède actuellement. Le logo de la CAN 2025, fièrement orné de motifs de cet art ancestral made in Morocco, empêche désormais toute tentative de se l’accaparer. Le régime a beau ruminer, l’affaire, une de plus, est définitivement perdue. Il lui reste, néanmoins, du carrelage à colorier.