Avant chaque Mondial, les observateurs faisaient mine de croire en une divine surprise venue du continent africain. Parfois par naïveté, le plus souvent par complaisance. Et au final, quelques étincelles, un semblant d’efficacité, un petit zeste de spectacle, et pas grand-chose à célébrer. Et puis il y a eu le Qatar. Regragui. Les Lions.