Tous les articles correspondant à #Investissements directs étrangers

63% de hausse des IDE au Maroc: le pays séduit les capitaux industriels et verts
Porté par une série de projets industriels, portuaires et énergétiques, le Maroc enregistre une envolée de 63% des investissements directs étrangers au premier trimestre 2025. Une reprise qui traduit à la fois un effet de rattrapage post-crise et une confiance renouvelée des investisseurs dans la compétitivité du Royaume, désormais tourné vers des secteurs à plus forte valeur ajoutée.
Fort rebond des IDE au Maroc: +43,4% à près de 40 milliards de dirhams à fin août 2025
Les investissements directs étrangers au Maroc enregistrent une nette montée en 2025, avec une progression de plus de 43% à fin août. Une dynamique qui s’inscrit dans une décennie marquée par la domination française, la montée en puissance des Émirats, la diversification des secteurs bénéficiaires et l’affirmation du Royaume comme hub industriel régional.
Le revers des IDE: dividendes, redevances et coûts cachés pour l’économie marocaine
Les investissements directs étrangers irriguent l’économie marocaine en capitaux et en expertise, mais leur revers est moins visible: des transferts massifs de devises sous forme de dividendes, redevances et frais divers. En 2024, près de 26 milliards de dirhams ont quitté le Royaume au titre de la rémunération des IDE, révélant le coût caché de cette manne. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.
Aéronautique: le Maroc, premier pôle africain, confirme ses ambitions mondiales
À l’occasion du Salon du Bourget 2025, le Maroc a confirmé son statut de puissance montante dans l’industrie aéronautique mondiale. Exportations record, afflux d’investissements, montée en gamme technologique… Le Royaume ne cache plus ses ambitions: s’affirmer comme hub africain de référence et viser, à l’horizon 2030, l’assemblage d’avions complets. Un cap stratégique soutenu par un écosystème performant, un capital humain qualifié et une politique industrielle volontariste.
IDE: une embellie en trompe l’œil
Malgré une réputation bien ancrée de stabilité et d’ouverture, le Maroc enregistre une baisse continue des investissements directs étrangers depuis six ans. À contre-courant de la dynamique africaine, cette tendance interroge sur la capacité du Royaume à maintenir son attractivité économique dans un contexte mondial de plus en plus compétitif. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.
IDE: la France, de loin, le premier investisseur au Maroc au cours de la dernière décennie
Entre 2015 et 2024, les investissements directs étrangers au Maroc sont dominés par la France, loin devant les Émirats arabes unis. Ces IDE, qui profitent à divers secteurs, sont destinés en premier lieu à l’industrie, puis à l’immobilier.
Pneumatiques: le Chinois Daya met le cap sur le Royaume
L’entreprise chinoise Shandong Daya va investir au Maroc en y construisant une unité de production de fils et câbles en acier pour pneumatiques, avec une capacité annuelle de 200.000 tonnes. Ce projet s’inscrit dans sa stratégie d’expansion internationale face aux tensions commerciales mondiales. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Opinion.
Charte de l’investissement: le dispositif destiné aux TPME bientôt adopté, selon le ministre Karim Zidane
Le décret portant sur le dispositif destiné aux TPME, prévu par la Charte de l’investissement, devrait être adopté dans les prochaines semaines. C’est ce qu’a promis le ministre délégué chargé de l’Investissement, Karim Zidane, aux membres de la CGEM, mardi 11 mars 2025 à Casablanca.
Un pays n’est pas une entreprise
Pour diriger un pays, il faut comprendre comment fonctionne une économie nationale et non comment tourne une entreprise.
IDE stables et durables vers l’Afrique: voici les 10 points clés de la feuille de route du G20
Favoriser les investissements directs étrangers (IDE) productifs de long terme plutôt que les volatils: tel est l’objectif du G20 qui a dévoilé 10 mesures phares pour attirer des flux de capitaux stables vers l’Afrique.