Tous les articles correspondant à #Economie algérienne

Tebboune ose tout… et c’est même à cela que l’on reconnaît les présidents faillis
Or, le président algérien devrait tout au contraire clamer sa reconnaissance éternelle à la France coloniale sans laquelle, aujourd’hui, son pays serait peut-être encore une wilaya turque. En effet, quand, en 1830, la France chassa les Ottomans, la «nation algérienne» était un «non-concept». Cent trente ans plus tard, au moment de l’indépendance de juillet 1962, tout ce qui existait en Algérie avait été construit par la France et à partir du néant.
L’œil de Carlos. Le dinar algérien s’écroule... et c’est toute l’économie qui arrive en brouette
Algérie: à Silly Land, le régime autorise les cabas…mais ferme l’accès à la devise
D’un côté, le gouvernement algérien autorise les «auto-importateurs» à importer jusqu’à 24.000 euros de marchandises par mois. De l’autre, il leur interdit de sortir plus de 7.500 euros…par an. Bienvenue en Absurdistan, où la valise de la contrebande peut circuler librement mais pas la devise pour la remplir. Décryptage.
Libertés économiques: le Maroc premier en Afrique du Nord, l’Algérie parmi les pires au monde, selon l’indice d’Heritage Institute
Heritage Institute vient de mettre à jour son classement annuel se rapportant aux libertés économiques dans le monde. Cette édition porte sur 176 pays et territoires dont 52 africains. Le Maroc occupe le premier rang au niveau de la région Afrique du Nord.
Les très sombres perspectives économiques et sociales de l’Algérie
La survie du «Système» algérien dépend du prix des hydrocarbures. Ses dirigeants ne peuvent pas avoir oublié que le «contre-choc pétrolier» de 1986 avait débouché sur les manifestations d’octobre 1988, puis sur la guerre civile des années 1990. De même, le cours du pétrole a commencé à baisser au milieu des années 2010, et quatre ans plus tard, il y eut le Hirak…
En 2025, l’Algérie va devoir procéder à des arbitrages économiquement vitaux mais politiquement explosifs
L’insoluble problème qui se pose au «Système» face à la croissance démographique est que, ne produisant pas de quoi habiller, soigner, équiper et nourrir sa population, l’Algérie doit donc tout acheter à l’étranger. En 2024, le quart des recettes tirées des hydrocarbures servit ainsi à la seule importation de produits alimentaires de base… dont l’Algérie était exportatrice avant 1962.
Dar Lkabranate. EP-127. Quand le dinar se casse la figure, la junte perd la face
Le pauvre dinar algérien, affaibli, ne semble plus bon qu’à essuyer les larmes (ou peut-être le plancher) des idées croquignolesques de la junte. Et tandis que leur monnaie s’enfonce dans les abysses, les caporaux tentent de remonter la pente avec des solutions qui font plouf. Une dégringolade qui risque de faire tanguer sérieusement le pouvoir.
Ce que l’inexorable chute du dinar dit de l’effondrement de l’économie algérienne
La dépréciation abyssale du dinar algérien face à l’euro est le fruit d’une dévaluation déguisée savamment orchestrée, depuis plus d’une décennie, par le régime d’Alger pour atténuer le déficit budgétaire découlant de la baisse des recettes tirées des exportations d’hydrocarbures. Loin d’avoir eu l’effet escompté, cette chute monétaire a plutôt créé un cercle vicieux qui plombe une économie sclérosée, totalement désindustrialisée, qui ne produit rien. L’effondrement de la monnaie locale inquiète fortement les Algériens de plus en plus enclins à thésauriser en euros. Analyse.
La farce électorale algérienne
Dans les années qui viennent, l’Algérie, qui se trouvera au pied du mur, va devoir procéder à des choix économiquement vitaux, mais politiquement explosifs. Et comme l’heure de vérité ne pourra pas être éternellement repoussée, la dernière farce électorale pourrait bien ressembler à un des derniers clous plantés dans le cercueil du «Système».
Mascarade de la présidentielle algérienne, le jour d’après: la monnaie s’effondre
La poussière du scandale de la présidentielle algérienne et de son lot de fraudes massives et de chiffres cacophoniques n’était pas encore retombée, qu’un nouveau feu se déclare dans le pays du monde à l’envers, cette fois-ci sur le front de l’économie. Le taux de change du dinar algérien sur le marché parallèle, le seul qui vaille, enregistre des records de baisse face à l’euro: depuis le dimanche 15 septembre, 1 euro s’échange contre pas moins de 244,5 dinars. Un nouveau symptôme d’une économie en faillite, d’institutions qui périclitent et de citoyens qui ne font plus confiance à leur monnaie.