«Nous interrogerons, le lundi 12 mai, le Chef du gouvernement sur les raisons objectives qui entravent la marche de l’éducation nationale», a déclaré un député de l’opposition, promettant que cette séance mensuelle dédiée à l’enseignement «sera éprouvante» pour le patron de l’exécutif.
«Nous n’arrivons pas à cerner objectivement les raisons pour lesquelles les performances de ce secteur, qui a vu passer avec cet exécutif quatre ministres -(deux de l’Éducation nationale et deux de l’Enseignement supérieur, NDLR), n’évoluent pas suffisamment», a ajouté notre interlocuteur.
«Il faut rappeler que l’Éducation nationale demeure le premier budget de la nation, avec plus de 92 milliards de dirhams, et que l’État a consacré en 202, un important budget pour la revalorisation du statut de 330.000 enseignants», a-t-il conclu.