En Algérie, les ministres n’ont plus de ministre que le titre. Un document explosif, révélé par le journaliste en exil Abdou Semmar, lève le voile sur un système où toute décision, couvrant la nomination, la promotion ou le limogeage, est confisquée par Abdelmadjid Tebboune. Autopsie d’une présidence obsédée par le contrôle, au risque de paralyser le fonctionnement du pays.