C’est confortablement assis en tailleur sur des tapis Beni Ouarain, reconnaissables à leur épaisseur et à leurs motifs géométriques en forme de losange, que l’interprète de «Fly Away», «I belong to you» ou encore «It ain’t over ‘til it’s over», a présenté la chambre à coucher de son hôtel particulier parisien, baptisé l’Hôtel de Roxie, au célèbre magazine d’architecture et de design AD.
De forme ovale, cette pièce où il a pour usage de se ressourcer comprend un lit, deux chaises, deux tables basses, deux lampes et une console, énumère Lenny Kravitz pour souligner l’aspect dépouillé et minimaliste de sa chambre à coucher. «Et bien sûr, les tapis marocains, que j’ai toujours aimés», poursuit-il en caressant les épaisses nattes. «Vous savez, il m’arrive parfois de dormir par terre», s’amuse-t-il pour en souligner le confort.
Des tapis marocains, on en retrouve aussi dans d’autres pièces à vivre de l’Hôtel de Roxie. La visite se poursuit dans les pas de la rockstar jusqu’au grand salon, où des portraits de Mohamed Ali, signés Andy Warhol, couvrent les murs, et où l’Afrique est célébrée avec des objets décoratifs, mais aussi à travers les nombreux tapis marocains qui jonchent le sol.
Si le chanteur américain dit aimer dormir à même le sol, il apprécie aussi de recevoir ses invités dans ce salon, les invitant également à s’installer confortablement par terre, explique-t-il.