Tous les articles correspondant à #Tebboune-Chengriha

Ultimatum lancé par la France à l’Algérie: la réaction hors-sol du régime d’Alger trahit son désarroi
Dans une déclaration officielle, la diplomatie algérienne a tenté de répliquer à l’ultimatum français concernant l’expulsion des ressortissants algériens sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF). Mais au lieu d’une réponse ferme et structurée, Alger s’est vautré dans un fatras de phrases creuses, ignorant la réalité du rapport de force. Un pur exercice de diversion, symptomatique d’un pouvoir en déroute.
Israël oppose une fin de non-recevoir aux courbettes de Tebboune
L’influent académicien Edy Cohen souligne le peu d’intérêt manifesté par Israël envers les tentatives de séduction du président algérien et son discours sur la normalisation des relations entre les deux pays. Selon Cohen, l’État hébreu ne souhaite pas se rapprocher d’un pays responsable de «l’une des plus grandes opérations d’expulsion massive» de juifs. Il considère par ailleurs l’Algérie comme un pays «isolé, sans poids ni influence» sur la scène internationale.
L’œil de Gueddar. Propos haineux: des influenceurs algériens dans le collimateur de la justice française
Algérie: pourquoi Tebboune a procédé à un rappel déguisé de son ambassadeur en Mauritanie
Après trois ans et trois mois à la tête de la mission diplomatique algérienne à Nouakchott en tant qu’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire, Mohamed Benattou a été rappelé lundi dernier à Alger. Il a été remplacé séance tenante par un chargé d’affaires venu du Caire. Ce limogeage brusque sonne comme un aveu d’échec du régime algérien dont le rêve de mettre dos à dos le Maroc et la Mauritanie s’est définitivement évaporé.
L’œil de Gueddar. Dans «l’autre monde», c’est satisfait ou réprimé!
Maroc-Mauritanie: les manœuvres du régime algérien s’effondrent devant la stratégie royale
Le contenu du communiqué du Cabinet royal, ainsi que la symbolique de l’accueil réservé au président mauritanien, montrent que tout ce que répand le régime militaire algérien, via les médias à sa botte, n’était que des vœux pieux, qui n’ont pas résisté devant les relations étroites de Rabat et Nouakchott. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.
Le36. EP438. Pénurie et flambée des prix du café en Algérie, La Brigade s’en mêle
Victime du dirigisme excessif de la junte au pouvoir, le prix de la tasse de café a flambé récemment en Algérie, alimentant la colère des habitants. La saisie injustifiée de 23 mille tonnes de café au niveau des ports, ordonnée par le régime militaire, ne va sûrement pas arranger les choses. Convoquée par La Brigade, une grande marque de café dit tout le mal qu’elle pense de cette énième opération commando orchestrée par le duo Chengriha-Tebboune. Pour elle, «l’Algérie, c’est fini».
Algérie: #Manish_radi, le hashtag qui exige la chute du régime militaire et l’avènement d’un État civil
Dans un geste sans précédent, mais qui exprime parfaitement l’état croissant de colère populaire en Algérie, des activistes algériens, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, ont lancé le hashtag #Manish_radi, exigeant que l’armée se confine dans son rôle naturel de protection et de maintien de la sécurité aux frontières, et laisse la gestion des affaires du pays aux seuls civils. Ce hashtag, qui s’est rapidement répandu comme une trainée de poudre sur les réseaux sociaux, est une réaction à la détérioration croissante des conditions de vie des Algériens et à la mainmise de plus en plus étouffante de l’armée sur toutes les décisions politiques et économiques.
Boualem Sansal: portrait d’un dissident algérien
Porté par un regard acéré et une plume audacieuse, Boualem Sansal incarne la dissidence littéraire dans une Algérie dominée par l’armée. Ce haut fonctionnaire, devenu sans le vouloir écrivain et témoin de son époque, déconstruit les mythes de la nation algérienne prisonnière de ses idéologies et d’un récit national instrumentalisé. Ses romans, empreints de douleur et de lucidité, tracent les contours d’une société en prise avec une dictature. Portrait.
Algérie: le chef d’état-major de l’armée s’incruste au sein du gouvernement
Le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a procédé lundi 18 novembre à un remaniement ministériel, marqué par l’entrée du chef d’état-major de l’armée, le général Said Chengriha, au gouvernement en tant que ministre délégué auprès du ministre de la Défense. Ce poste n’est pas nouveau, puisqu’il avait été déjà créé sous le second mandat de Bouteflika en 2005, dans le cadre d’un partage du pouvoir entre la présidence algérienne et le commandement militaire. Sous Tebboune, la situation empire car ce sont les pouvoirs politique et économique qui sont en train d’être remis dans leur intégralité à l’armée.