Tous les articles correspondant à #massacre

Algérie: quand l’odjak des janissaires s’auto-détruit
La réalité est que le régime d’El Mouradia est en passe d’être emporté par l’impitoyable guerre que se livrent les clans militaires. Un épisode qui fait écho aux sanglantes luttes de factions auxquelles, avant 1830, se livraient les composantes de l’odjak des janissaires. Or, les mœurs héritées de ce passé colonial turc, que l’histoire officielle de l’Algérie fait semblant d’ignorer, paraissent pourtant former la matrice de l’État militaire algérien d’aujourd’hui.
Syrie: premier convoi d’aide à Soueida après des violences qui ont fait plus de 1.100 morts
Un premier convoi d’aide humanitaire est entré dimanche dans la ville dévastée de Soueida dans le sud de la Syrie, où un cessez-le-feu est entré en vigueur après une semaine d’affrontements intercommunautaires qui ont fait plus de 1.100 morts selon une ONG.
«Douleur dans l’âme»: la Bosnie commémore le génocide de Srebrenica, 30 ans après
Des milliers de personnes endeuillées ont commémoré vendredi à Srebrenica le génocide commis il y a trente ans par les forces serbes de Bosnie, l’un des pires massacres perpétrés sur le sol européen depuis la Deuxième Guerre mondiale.
Algérie: règlements de comptes au sein de l’odjak des janissaires
Aujourd’hui, après l’épuration des membres du clan du général Gaïd Salah dit «le glouton», c’est au tour du clan du général Chengriha de «profiter» de la fonction. Et ses membres brûlent les étapes, car ils n’ignorent pas que, quand leur chef aura passé de vie à trépas, ce sera à leur tour d’être épurés par les colonels et les généraux qui attendent de plus en plus impatiemment leur tour… Ce qui provoque la fureur épuratrice préventive des janissaires menacés.
Gaza: Israël intensifie son offensive, la Défense civile annonce 44 morts
La Défense civile de la bande de Gaza a fait état mardi de la mort de 44 personnes dans de nouveaux bombardements sur le petit territoire palestinien en guerre, où l’armée israélienne intensifie son offensive militaire.
Guinée. «Il aurait mieux valu commencer par indemniser les victimes», la grâce présidentielle à Dadis Camara ne passe pas
Le 28 mars, une décision politique majeure a secoué la Guinée: le président actuel, le général Mamadi Doumbouya, a accordé une grâce à Moussa Dadis Camara, l’ancien chef de l’État pour raison de santé. Cette annonce a suscité une vive polémique au sein de l’opinion surtout que Dadis Camara a été condamné à 20 ans de prison pour sa responsabilité dans le massacre du 28 septembre 2009 qui a coûté la vie à 156 personnes, au moins 109 femmes ont été violées.
Fahad Al Masri: «l’Algérie est impliquée dans des massacres en Syrie et doit des excuses aux Syriens»
Alors que les Syriens attendent des excuses officielles de l’Algérie pour son implication dans le «massacre du siècle», le chef de la diplomatie algérienne s’est rendu à Damas, non pas pour se racheter, mais dans le cadre de ce qu’il considère comme une rivalité politique avec le Maroc. Une revue de presse de l’hebdomadaire Al Ayyam.
Massacre de 2009 en Guinée: «On a vu des femmes nues, ensanglantées, courir dans les rues», le témoignage déchirant des survivants
Au terme d’un procès qui aura duré deux ans, l’ex-dictateur Moussa Dadis Camara a été condamné à vingt ans d’emprisonnement pour crimes contre l’humanité. Le 28 septembre 2009, au moins 156 personnes avaient été tuées, des femmes violées. Plus de 15 ans se sont écoulés depuis, mais les images d’horreur sont encore gravées dans la mémoire des témoins.
Massacre de Hay Errahma à Salé: audition du présumé tueur et des témoins
Le procès du présumé tueur des membres de sa famille dans le quartier de Hay Errahma à Salé s’est poursuivi, jeudi dernier, à la chambre criminelle de la Cour d’appel de Rabat, avec l’audition du mis en cause et des témoins. La prochaine audience sera consacrée aux plaidoiries des avocats, rapporte le quotidien Al Akhbar, dont est tirée cette revue de presse.
Toutes les vies se valent
Netanyahou ne cesse de rappeler qu’une vie israélienne est plus importante que toute autre vie. Les mots ont leur importance. «Génocide» en est un. Mais pour celui qui meurt sous les bombes, pour les dizaines de milliers de Gazaouis tués méthodiquement, ils se moquent pas mal qu’on utilise ce mot ou un autre.