Tous les articles correspondant à #campagne électorale

La Convergence Républicaine, structure qui fédère tous les mouvements de soutien à la candidature de Mamadi Doumbouya à la présidentielle, a pris part à l’inauguration à Conakry du QG Pool politique, donnant ainsi le départ d’une campagne électorale destinée sillonner tout le pays.

Dans les zones rurales reculées et les quartiers urbains marginalisés, les partis politiques trouvent un fertile terrain de conquête électorale. L’éditorialiste d’Al Akhbar met en lumière le cercle vicieux des promesses non tenues, qui transforme ces territoires délaissés en foyers de tensions sociales et de désespoir. Cette revue de presse est tirée d’un article d’Al Akhbar.

Dans les rues de Libreville, l’effervescence à l’approche du scrutin législatif et local du 27 septembre est absente. Cette échéance électorale se prépare dans un climat de défiance et de craintes, où les questions de transparence et des moyens financiers dont disposent certains candidats empêchent le débat d’idées.

À l’approche des échéances électorales, alors que les partis politiques intensifient leurs activités, entre contrôle gouvernemental et campagnes de terrain, le ministère de l’Intérieur appelle à la modération. Parallèlement, le département d’Abdelouafi Laftit entame des études techniques préparatoires aux consultations électorales. Une revue de presse du quotidien Assabah.

Huit candidats, dont Brice Clotaire Oligui Nguema et Alain-Claude Bilie-By-Nze, briguent la présidence gabonaise le 12 avril. Priorités: lutte contre le chômage et la corruption et réduction de la dépendance pétrolière. C’est la première fois depuis 1967 qu’une élection présidentielle va se tenir sans la famille Bongo.

Le Parti de la justice et du développement (PJD) sort la grosse artillerie contre le gouvernement, l’accusant sans détour de manipuler l’opinion publique à son avantage. Il dénonce auprès de la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) un spot télévisé cousu de fil blanc pour enjoliver l’image de l’exécutif auprès de l’opinion, dans ce qui ressemble étrangement à une campagne électorale prématurée.

La confiance qui devait régir les relations entre les élus et leurs électeurs a cédé la place à la méfiance, creusant davantage le fossé entre les citoyens et la sphère électorale. À Rabat, des élus ont validé des décisions qu’ils peinent aujourd’hui à défendre, suscitant la colère de la population. Une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.

À trois semaines du vote du 5 novembre, les sondages sont toujours aussi serrés entre Kamala Harris et Donald Trump. Les deux candidats se sont affrontés à distance dimanche dans deux États très disputés: la vice-présidente démocrate cherchant à capter les électorats afro-américain et hispanique en Caroline du Nord, et l’ex-président républicain martelant ses déclarations anti-immigration en Arizona.

La candidate démocrate à la présidentielle Kamala Harris s’est affichée jeudi avec la républicaine Liz Cheney, qui a appelé les Américains à choisir le camp de «la vérité» plutôt que Donald Trump, qui martèle toujours le mensonge selon lequel l’élection de 2020 lui aurait été volée.