Tous les articles correspondant à #BRICS

Ordre mondial et dynamiques de contestation
Assurément, l’ordre mondial vacille, mis à l’épreuve, peut-être même en crise. Fragmentation, polarisation accrue... les lignes de fracture se multiplient et les contestations, jadis périphériques, s’imposent désormais comme des forces structurantes, capables de dicter le tempo des politiques globales.
Les Brics mis sous pression par les menaces douanières de Trump
Les Brics avaient critiqué la guerre commerciale lancée par Donald Trump avec sobriété, et sans même le citer. Cela n’a pas suffi à leur épargner la colère du président américain, qui les menace de droits de douane supplémentaires.
Les Brics s’inquiètent des droits de douane «unilatéraux» des Américains
Les Brics ont exprimé dimanche à Rio de Janeiro leurs «sérieuses préoccupations» face à la guerre commerciale menée par Donald Trump qui a en retour menacé d’imposer des droits de douane supplémentaires au bloc des onze grands pays émergents et à ceux qui «s’alignent» sur eux.
BRICS: à Rio, un sommet sans Xi ni Poutine, mais uni pour contrer la politique commerciale de Trump
Les BRICS — groupe de 11 pays émergents dont le Brésil, la Chine, l’Inde, la Russie et l’Afrique du Sud — se réunissent dimanche à Rio de Janeiro pour un sommet sous haute sécurité. Leur objectif: affirmer une position collective contre le protectionnisme américain, sans viser explicitement Donald Trump.
Géopolitique monétaire: vers la dédollarisation?
La crise que traverse l’ordre mondial ne se manifeste pas uniquement sur le terrain militaire — à l’image du conflit entre l’Iran et Israël. Elle s’exprime aussi, de manière plus discrète mais tout aussi stratégique, dans le champ monétaire: celui de la dédollarisation et, plus largement, de la remise en question de l’hégémonie financière américaine.
Visite imminente de Narendra Modi au Royaume: un tournant stratégique dans les relations Inde-Maroc
Le Premier ministre indien Narendra Modi s’apprête à effectuer début juillet une tournée stratégique en Afrique, en Amérique latine et au Moyen-Orient, avec une première étape majeure au Maroc. Ce déplacement illustre l’importance croissante du Royaume pour l’Inde, à la fois comme partenaire économique et allié clé dans une région charnière. Entre coopération sécuritaire, développement économique et influence géopolitique, cette visite marque une nouvelle étape dans le renforcement des relations bilatérales entre les deux pays.
La Russie biffe l’Algérie de la carte de ses alliés, le régime en totale errance
Mis à l’écart des célébrations à Moscou du 80ème anniversaire de la fin de la guerre contre les nazis par son supposé allié historique, l’Algérie encaisse une humiliation diplomatique retentissante. Absente du très symbolique «Jour de la Victoire» à Moscou, elle découvre que la Russie ne la considère plus, ni comme amie, ni comme alliée. Une gifle géopolitique de plus pour un régime isolé, paranoïaque, impulsif et qui a perdu à la fois sa boussole et toute crédibilité aux yeux du monde.
Donald Trump, saison 2
Voilà donc de retour à La Maison Blanche, depuis le lundi 20 janvier, du président Donald Trump. Lors de son discours d’investiture, après avoir prêté serment au Capitole, il a promis que «le déclin de l’Amérique était terminé» et que son «âge d’or commençait maintenant», ajoutant: «Nous recouvrerons notre souveraineté, notre sécurité sera rétablie». Un programme fortement volontariste. Mais quel est l’état des lieux?
Alors, BRICS ou pas BRICS?
Une éventuelle adhésion du Maroc aux BRICS+ serait jugée sur la base du potentiel de développement économique de notre pays, mais surtout sur la base de son autonomie stratégique et de la constance de sa diplomatie.
Dar Lkabranate. EP-135. Abdelmadjid Tebboune, le président qui a voulu imposer le dinar à la place du dollar
L’enthousiasme dont a fait preuve le président Tebboune lors d’une visite à Moscou en juin 2023, en se montrant favorable à une nouvelle monnaie Brics et à une dédollarisation rapide de l’économie mondiale, va désormais coûter cher à l’Algérie. Et pour cause, Donald Trump a tout récemment menacé les pays partisans du Brics, affirmant que toute tentative de remplacement du dollar les exposerait à des droits de douane de 100% et à une interdiction d’accès au marché américain. Visiblement embarrassé, le général Chengriha n’a d’autre choix que de demander pardon au nouveau locataire de la Maison Blanche.