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Après les déclarations de deux ministres accusant des importateurs d’ovins et de bovins d’avoir profité des aides du gouvernement sans répercuter ces subventions sur les prix, la polémique autour du montant total accordé dans ce cadre ne cesse d’enfler. Une revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Face à une chute importante du nombre d’animaux d’élevage, le ministre de l’Agriculture, Ahmed El Bouari, a annoncé une série de mesures d’urgence pour soutenir le secteur. Cette revue de presse est tirée d’un article du quotidien Al Akhbar.

Une polémique entoure l’importation de viandes bovines, caprines et ovines congelées ou réfrigérées. Une question écrite adressée au ministre de tutelle au parlement suggère que la décision de suspension de ces importations serait déjà prise. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Assabah.

Le kilogramme de viande bovine, au prix habituellement compris entre 80 et 85 dirhams, avoisine désormais les 130 dirhams. L’importation de 20.000 tonnes de viande fraîche et congelée, exonérées de droits de douane et de TVA, n’y a rien changé. Mieux encore, des pratiques anticoncurrentielles ont été relevées. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

Malgré les mesures prises par le gouvernement pour stabiliser les prix des viandes rouges, notamment en exonérant les importateurs des droits de douane et de la TVA, aucune tendance baissière n’a été ressentie par les consommateurs. Cet article est tiré d’une revue de presse d’Assabah.

Le ministère de l’Agriculture procédera dans les prochains jours au recensement du cheptel national. Cette opération permettra au gouvernement de collecter des données précises sur la taille du troupeau national et d’étudier l’évolution des races locales. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

L’État prendra en charge la TVA à l’importation de bovins, d’ovins, de viandes et d’abats de l’espèce bovine, ovine et caprine. La mesure, qui a pris effet le 19 octobre, s’applique dans la limite de 120.000 têtes de bovins, 100.000 têtes d’ovins et de 20.000 tonnes de viandes rouges.

La capitale de la république de Guinée dispose de deux abattoirs... ou presque. L’un est un vieux hangar ne disposant d’aucune commodité, et dans l’autre c’est le ciel qui fait office de toit d’un lieu où il n’y a même pas d’eau. C’est de ces espaces d’immolation que sont ravitaillés en viande les 2 millions d’habitants de Conakry.

Il n’existe pas de groupes de pression qui mineraient la filière de l’importation d’ovins et de bovins, a martelé ce lundi 22 juillet 2024, le ministre de l’Agriculture, de la Pêche maritime et des Eaux et forêts, Mohammed Sadiki, devant le Parlement. Pour lui, seule la sécheresse est responsable de la flambée actuelle des prix des viandes rouges.