Tous les articles correspondant à #Bachar al-Assad

Billet littéraire KS. Ep 59. «L’Arabe qui sourit» de Omar Youssef Souleimane, ou les carnets de guerre de Syrie
«L’Arabe qui sourit», lauréat du premier Prix littéraire du Quai d’Orsay 2025, tisse une tapisserie d’exil, de mémoire et de rébellion syrienne à travers les yeux de Salim, un réfugié en France, qui voyage à Damas avec le cadavre caché de son ami. Ce roman transforme le deuil personnel en une méditation universelle sur le drame des peuples déracinés, et une introspection lyrique sur la Syrie de l’après-Bachar al-Assad.
Revisiter l’Iran
En Iran, l’heure est au repli. Après les revers militaires essuyés par le régime et ses relais — le Hezbollah au Liban, le Hamas à Gaza et les milices en Syrie — la République islamique se voit contrainte de recentrer ses priorités sur son territoire, ses enjeux internes et sa quête d’influence régionale.
Damas tourne la page Polisario
La Syrie post-Assad entame une réorientation diplomatique majeure. Dans un geste hautement symbolique, les autorités syriennes ont fermé les bureaux du Front Polisario à Damas, rompant avec plus de quatre décennies de soutien. Une décision qui s’inscrit dans une dynamique plus large de repositionnement régional et de rapprochement avec le Royaume. Cet article est une revue de presse tirée de Jeune Afrique.
Fahad Al Masri: le Polisario, «un groupe terroriste sur commande d’un axe Alger-Téhéran en guerre contre la terre entière»
Sous la voix tranchante de Fahad Al Masri, opposant syrien en exil et figure de la lutte contre le régime de Bachar Al-Assad, le récit victimaire du Polisario s’effondre. Dans un entretien sans détour, le fondateur du Parti libéral syrien lève le voile sur la véritable nature du front: un instrument terroriste entre les mains de Téhéran et un auxiliaire docile de la machine de guerre iranienne, avec la bénédiction du régime d’Alger. Un «Hezbollah d’Afrique du Nord qui a notamment combattu aux côtés du régime Al-Assad contre le peuple syrien». Le ton est donné. Entretien exclusif.
Syrie: Rabat scelle son triomphe diplomatique, Alger enterre ses illusions
La fermeture des locaux polisariens à Damas, sous la supervision marocaine, consacre un triomphe diplomatique de Rabat et une déconfiture algérienne. Ce geste officiel, scellant l’expulsion des mercenaires, révèle l’effondrement des manœuvres clandestines d’Alger en Syrie, où son soutien au régime de Bachar El-Assad s’est mué en une débâcle stratégique, face à la vision, clairvoyante, du Roi Mohammed VI. Cet article est tiré d’une revue de presse du quotidien Al Ahdath Al Maghribia.
Syrie: le président promet de poursuivre les responsables des tueries de civils
Le président syrien, Ahmed al-Charaa, a promis de poursuivre les responsables de «l’effusion de sang de civils», dont plus de 800 ont été tués dans l’ouest du pays, selon une ONG. L’ONU, Washington et d’autres capitales ont condamné ces tueries, appelant les autorités syriennes à y mettre fin.
Syrie: armée dissoute, constitution gelée, Ahmed al-Charaa nommé président intérimaire
Ahmad al-Charaa, qui a pris le pouvoir le 8 décembre suite à la chute de Bachar al-Assad, a été nommé président intérimaire pour la période de transition, ont annoncé mercredi soir les nouvelles autorités syriennes. La dissolution de l’historique parti politique Baas a également été décrétée, ainsi que de plusieurs instances de l’ancien régime syrien dont l’armée, et des instances dites de la «Révolution» qui ont porté au pouvoir Ahmad al-Charaa.
À Damas libérée du pouvoir des Assad, 2025 sous le signe de "l'espoir"
Place des Omeyyades à Damas, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées en brandissant des drapeaux aux couleurs de la « révolution », célébrant l’entrée du pays meurtri par trois années de guerre civile dans une année 2025 placée sous le signe de «l’espoir».
Entre isolement international et étincelles du Hirak: qui peut sauver l’Algérie?
Des bouleversements profonds sont en train de changer radicalement le visage du Moyen-Orient et du monde arabe. Dans ce chamboulement sans précédent, dont les effets se font sentir au Maghreb, seul le régime algérien, au lieu d’anticiper les changements futurs et en vue de se maintenir, continue de crier aux faux «complots» venus du Maroc. Les détails dans cette revue de presse tirée du quotidien Al Ahdath.
Chute d’Assad en Syrie: plus de frappes américaines mais plus de liberté pour l’EI
La chute de Bachar al-Assad va permettre à l’armée américaine d’intensifier ses frappes contre l’État islamique dans des zones auparavant protégées par les défenses anti-aériennes syriennes et russes mais les jihadistes vont eux profiter du vide laissé par les troupes syriennes pour manoeuvrer plus librement.