L’Algérie convoque une nouvelle fois l’ambassadeur de France pour dénoncer les largesses immobilières accordées à Paris depuis des décennies, révélant ainsi sa propre servilité. Tandis que le régime d’Alger clame sa haine de la France, il admet avoir bradé 61 biens à des conditions dérisoires, exposant une incohérence flagrante. En riposte, la France pourrait bien ouvrir la boîte de Pandore en s’attaquant aux biens mal acquis des dignitaires algériens sur son sol et aux biens dont ont été dépossédés les colons et les juifs en Algérie.