:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/Z5ETY5PEUBEJZNSXXUJS6IDE5E.jpeg)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/UTBCWOS5LVCPVG3FUDZMIDVC7E.jpg)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/AMJ776O72ND45ONKUUT5HFPUJQ.jpeg)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/KCBXSNKA5FGDFLYCYHUJ267Q7I.jpeg)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/W5SFO26OIZBCNGN3REPAIU5E7Y.jpeg)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/JTWDP7R24VCNXGZXKTGPTRJG7Q.jpeg)
Transport maritime: ce que le port Nador West Med va changer
Scientifiquement, peut-on parler d'une «dépression post-Coupe du monde»?
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/CCRUVU6XMFGSLIZQR42D2AZ274.jpeg)
Une fan zone à Casablanca durant le Mondial 2022.
. Adil Gadrouz
Le rideau est tombé sur la Coupe du Monde au Qatar, qui a tenu en haleine des millions de fans du ballon rond à travers un lot d’émotions. Au terme du Mondial, ne reste qu’un «vide émotionnel» contraignant les passionnés de football à renouer avec une routine dépourvue des moments forts de la compétition, d'interactions et d’excitation.
Le 24/12/2022 à 14h26
LEs contenus liés
VOS RÉACTIONS
0/800
Articles les plus lus
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/SYXDREFZWZGBJEA5BMRJNQRRNE.jpg)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/R66JWZUM4FBOPHEYK3XFZTYI3I.webp)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/6AC4VBNYZZDAVKVRAU2Q3G7SVQ.jpg)
:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/le360/72LM4QWNG5FCPBGETV2M3QJRNQ.jpg)
Bienvenue dans l’espace commentaire
Nous souhaitons un espace de débat, d’échange et de dialogue. Afin d'améliorer la qualité des échanges sous nos articles, ainsi que votre expérience de contribution, nous vous invitons à consulter nos règles d’utilisation.
Lire notre charte