Vidéo. Après la sortie de son dernier single «Idrab Ya Qalb» (Bats, mon cœur), le chanteur Ilias Taha se dévoile

La chanteur Ilias Taha qui a sorti, fin novembre 2021, son morceau intitulé «Idrab Ya Qalb» (Bats, mon cœur).

La chanteur Ilias Taha qui a sorti, fin novembre 2021, son morceau intitulé «Idrab Ya Qalb» (Bats, mon cœur). . Abderrahim Et-Tahiry / Le360

Le 12/12/2021 à 08h40

VidéoInvité par Le360, l’artiste Ilias Taha dévoile ses derniers projets et se livre quant à la réalisation de son dernier single «Idrab Ya Qalb» (Bats, mon cœur), dont l’idée a fleuri quelques mois avant le confinement. Interview.

Le 30 novembre 2021, Ilias Taha a sorti son dernier morceau intitulé Idrab Ya Qalb (Bats, mon cœur). Cette chanson porte la signature de l’artiste Jalal El Hamdaoui, qui en a conçu les paroles, l’arrangement et en a assuré la distribution.

Mais derrière le succès grandissant de cet opus, une longue période de travail a eu cours. «La chanson était prête avec le confinement, ce qui devait suivre était le tournage du vidéo-clip. Malheureusement, le Covid-19 a changé la donne. J’ai dû patienter le temps que la situation se temporise. J’ai essayé de voir le bon côté des choses, et malgré l’ensemble des mesures restrictives et les problèmes des déplacements limités entre les villes, nous avons réussi à tourner et donner vie à ce clip», confie Ilias Taha.

Idrab Ya Qalb, qui cumule déjà plus d’un million de vues sur YouTube, confirme la place d’Ilias Taha dans le monde du chant. «Collaborer avec Jalal El Hamdaoui est une grande opportunité pour moi parce c’est un artiste passionné qui connaît très bien son métier, mais ma devise dans la vie, c’est qu’il n’y a que le travail qui paie», précise-t-il.

Quant à ses projets futurs, Ilias Taha explique qu'il compte sortir un second volume de son album Nostalgia, intitulé Nostagia 2, composé de chansons orientales et marocaines. Il n'hésite pas à dévoiler en exclusivité pour Le360 la production et la composition d’une nouvelle musique, en featuring avec Mehdi Mouzahir, Madara et Tarik Hajili. «Une œuvre 100% marocaine avec un rythme khaliji», conclut-il.

Par Hafida Ouajmane et Abderrahim Et-Tahiry
Le 12/12/2021 à 08h40