Vidéo. Après la sortie de son dernier single «Nedmana» (Je regrette), Badr Akhlouf se dévoile enfin

Badr Akhlouf, artiste tangérois.

Badr Akhlouf, artiste tangérois. . khalil Essalak / Le360

Le 27/11/2021 à 20h07

VidéoAprès cinq années d’absence de la scène musicale, le chanteur Badr Akhlouf revient avec son dernier single «Nedmana» (je regrette), sorti le 29 octobre 2021, en featuring avec le rappeur Abdeelgha4. Zoom sur son parcours.

Badr Akhlouf, artiste tangérois, avait débuté sa carrière musicale en 2010, avant de la mettre entre parenthèses pendant quatre années durant lesquelles il s'est tourné vers le management de 2015 à 2020. Mais finalement, il a été rattrapé par ses premières amours et a renouer avec le monde de la musique en 2020.

C'est le 29 octobre 2021 qu'est sorti sur YouTube son deuxième single intitulé Nedmana (Je regrette), en featuring avec le rappeur Abdeelgha4 (qui se lit Abdelghafour), écrit et composé par le rappeur lui-même et par le célèbre chanteur marocain Zouhair Bahaoui, et distribué par Bilal Africano et Taoufik Sidqi. 

«J’ai choisi de parler du regret, parce que c’est un sujet qui est présent chez le commun des mortels. Que ce soit un homme ou une femme, nous avons tous ressenti un jour, une forme de regret ou de remord, et je me suis approprié cette thématique, parce que personne n’est épargné de cet état d’esprit humain et tout à fait normal», explique Badr Akhlouf.

Le vidéo-clip du single Nedmana, qui cumule déjà plus de 386.691 vues sur YouTube, confirme le retour de Badr Akhlouf dans le monde du chant et du rap, après son retrait (temporaire) de l’industrie musicale de 2015 à 2020. «Un retour en force soutenu et encouragé par Zouhair Bahaoui», précise-t-il.

Par ailleurs, ce Tangérois passionné de chant, n’hésite pas à partager son admiration pour les rappeurs Muslim, L7or ou encore El Grande Toto, avec lesquels il souhaiterait collaborer un jour.

Aujourd’hui, Badr Akhlouf conjugue chant et management d’entreprise. Il est en effet chargé de la gestion des œuvres musicales de l'artiste Ihssan Regragui.

Par Ghania Djebbar et Abderrahim Et-Tahiry
Le 27/11/2021 à 20h07