Jean Paul Windpanda Ouédraogo

Depuis le 2 et jusqu’au 14 décembre, le public ouagalais se mobilisé à la Maison du Peuple pour accompagner la cheffe Djenebou Banao, qui s’est lancé le défi de battre un record Guinness pour le compte de son pays le Burkina Faso.

Agriculture, commerce, habitat, sécurité, bourses d’étude, infrastructures routières... plusieurs accords de coopération ont été signés à Ouagadougou afin de donner corps aux relations diplomatiques qui lient les deux pays depuis plus d’un demi-siècle.

Institué tous les premiers jeudi du mois, le deuxième cérémonial d’hommage militaire au Président Thomas Sankara a vu la participation du personnel du Conseil supérieur de la communication et ses partenaire.

L’Association nationale des artistes plasticiens du Burkina Faso organise la deuxième exposition-vente d’œuvres d’art «Résilience 2», à l’initiative du sculpteur Jean-Luc Bambara dont les sculptures de bronze sont visibles jusqu’en décembre prochain.

Un robot qui dresse votre bilan de santé, un autre excelle dans le management des entreprises... À Ouagadougou, la Semaine du numérique fait la part belle à l’intelligence artificielle qui étend ses tentacule à tous les domaines d’activité.

C’est par un heureux hasard que Sadia Compaoré est devenue célèbre. Ce qui au départ n’était qu’un post sur les réseaux sociaux, s’est transformé en une success story: ses fours d’argile se vendent comme de petits pains. Voici son histoire.

Avec l’entrée en vigueur de la loi interdisant l’usage de sachets en plastique, la lutte contre la pollution est entrée dans sa phase coercitive depuis plusieurs semaines. Cette interdiction ouvre la voie à la fabrication d’emballages écoresponsables. Rencontre avec l’un d’eux à Ouagadougou.

La parenté à plaisanterie est une pratique culturelle très ancienne, toujours ancrée dans le quotidien des Ouest-africains. Les Journée des Yaadcés à Ouagadougou ont été initiées pour donner encore plus de visibilité à ce repère social, garant de la paix.

Longtemps boudés par les Ouagalais qui préféraient les taxis et les deux-roues, les bus mis récemment en circulation par la Société de transport en commun (SOTRACO) ont fini par convaincre les plus récalcitrants grâce à leur confort et le professionnalisme des conducteurs. Usagers, élèves et étudiants ne tarissement pas d’éloges sur ces autobus déployés à l’échelle des régions.