Tourisme: la SMIT s’associe au ministère de la Culture pour promouvoir les activités de gaming de loisir

Imad Barrakad, directeur général de la Société marocaine d'ingénierie touristique, et Mehdi Bensaïd, ministre de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication.

En marge de la première édition du Motocco Gaming Expo, organisée la semaine dernière à Rabat, un accord de partenariat a été signé entre le ministère de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication, et la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT), visant la promotion des investissements des activités de gaming de loisir au niveau des sites patrimoniaux.

Le 30/05/2024 à 07h59

Un mécanisme d’appui sera mis en place au profit d’investisseurs souhaitant s’inscrire dans cette initiative visant la promotion des investissements des activités de gaming de loisir au niveau des sites patrimoniaux, couvrant la période 2024-2026.

Les projets recherchés par la Société marocaine d’ingénierie touristique (SMIT) et le ministère de la Culture, de la Jeunesse et de la Communication doivent être innovants et permettre aux sites à forte valeur patrimoniale d’être plus attractifs, à travers les expériences de gaming (métavers, réalité virtuelle, planification d’itinéraires, etc.), souligne la SMIT dans un communiqué.

Cette démarche a pour objectif de mettre davantage en lumière les richesses culturelles et historiques du Maroc, offrant ainsi une expérience touristique unique aux visiteurs nationaux et internationaux.

À travers ce partenariat, les deux parties souhaitent soutenir l’écosystème entrepreneurial et ce, en permettant l’accès des TPME innovantes aux sites gérés par le département de la Culture, et à des subventions pour raccourcir les délais de rentabilisation de cette mise en valeur touristique, ajoute la même source.

En misant sur le potentiel du gaming de loisir, le Maroc se positionne à la pointe de l’innovation technologique appliquée au tourisme et à la valorisation de son patrimoine pour une meilleure attractivité des destinations «city break» et des circuits culturels.

Par Ayoub Khattabi
Le 30/05/2024 à 07h59