Tous les articles correspondant à #Risque pays

Financement souverain. Le FMI alerte ces pays d’Afrique sur «les risques en cascade» de la dépendance aux marchés privés
La dépendance aux marchés privés, si elle permet de combler des déficits de financement immédiats, expose un certain nombre de pays africains à un cercle vicieux où le coût de la dette sape les perspectives de croissance, rendant son remboursement encore plus difficile, alerte le FMI.
Risque-pays: le Maroc sous la loupe d’Allianz Trade
Depuis le dernier trimestre de 2024, Allianz Trade a amélioré la note du Maroc de «B2» à «B1», positionnant le Royaume comme l’un des plus sûrs d’Afrique pour les affaires. Cet article est une revue de presse tirée du magazine Finances News Hebdo.
Maroc, Sénégal, Côte d’Ivoire: les menaces commerciales à suivre de près en 2025, selon Allianz
Selon le dernier Baromètre des risques d’Allianz, la cybersécurité et les défis environnementaux dominent les préoccupations des entreprises africaines pour 2025. Plus en détail, quid des entreprises du Maroc, du Sénégal, et de la Côte d’Ivoire ?
Investissement: les 7 pays africains où les opportunités l’emportent sur les risques
Climat des affaires, stabilité politique, potentiel économique... selon le récent rapport de Control Risks et Oxford Economics Africa, sept pays se hissent en tête du classement continental des destinations où les opportunités d’investissement l’emportent sur les risques potentiels.
Défaut de paiement en Afrique: les profils des mauvais créanciers, selon l’IFC
Un récent rapport de l’International Finance Corporation souligne les défis persistants du financement en Afrique, mais met également en évidence les progrès réalisés dans certains pays et secteurs, encourageant ainsi une croissance économique inclusive et durable pour attirer davantage d’investissements privés.
Baromètre des risques Allianz 2024: les entreprises du continent ne sont pas à l’abri des ennuis!
En 2024, les entreprises en Afrique feront face à un cocktail explosif de risques commerciaux, allant des changements législatifs aux cyber-menaces en passant par les interruptions d’activité. Découvrez les défis auxquels vont être confrontées les entreprises du continent selon le Baromètre des risques Allianz 2024.
Risque pays: le Maroc fait mieux que les plus grandes puissances africaines
Allianz Trade, spécialiste de l’assurance-crédit, dévoile son Country Risk Atlas. Il évalue les facteurs économiques, politiques, commerciaux et de développement durable pesant sur le risque d’impayés des entreprises, et ce dans 83 économies, dont le Maroc qui a vu sa note de risque améliorée à «B2», soit un niveau de risque moyen, faisant «mieux que les grandes puissances économiques africaines», indique Perspective Med dont est tirée cette revue de presse.
Risques politiques en 2024: voici les 13 pays que vous devez suivre de près, selon Coface
Les risques politiques exacerbés par les élections à venir dans 13 pays du continent cette année peuvent avoir des répercussions sur bon nombre de business. Les incertitudes liées aux changements politiques, à l’insatisfaction populaire et aux troubles sociaux peuvent ralentir la prise de décision et créer des défis pour les acteurs économiques. D’où l’intérêt de surveiller attentivement l’évolution de la situation politique de ces pays et d’adapter sa stratégie économique en conséquence.
Risque pays: le Maroc, pays le plus résilient en Afrique du Nord, selon Coface
Dans son dernier baromètre des risques pays et sectoriels, l’assureur-crédit Coface indique que le Maroc est le pays le plus résilient en Afrique du Nord. Le Royaume se maintient aussi dans le top 10 des pays les moins risqués en Afrique.
PNUD: les méthodes des agences mondiales de notation privent l’Afrique de 74 milliards de dollars d’opportunités d’investissements
Dans un récent rapport, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) révèle que les méthodes des agences de notation mondiales pour évaluer le risque de remboursement des dettes privent l’Afrique de 74 milliards de dollars de financement supplémentaires. Des analyses qui ne prennent pas en compte les réalités économiques des pays africains parmi lesquels il est reproché «la pénurie de données actualisées».