De l’applaudissement au boycott, il n’y a qu’un «faux» pas. Convoqué par la Brigade, Cheb Bilal le découvre à ses dépens. Tentant de se rabibocher avec le public marocain qu’il a ouvertement froissé, le maître algérien du raï, et désormais de la volte-face, reconnaît ses torts et se confond en excuses… tout en avouant sa peur d’être la nouvelle cible de la junte, à l’image de Khaled, faussement accusé d’espionnage pour le Maroc.