Un an après les Jeux Olympiques de Paris 2024, et à trois de ceux de Los Angeles 2028, l’heure est à la réflexion. Si le Maroc a brillé par éclats grâce à El Bakkali et à l’équipe olympique de football, son système sportif reste fragile, dépendant de talents isolés et miné par l’absence de stratégie. Plus que jamais, il faut passer du symbole à la construction, de l’émotion à la performance durable.