L'enfer du décor. Abdelmajid Dolmy: de "Douloumate" à la lumière

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Quelqu'un a dit un jour que lorsqu'un écrivain meurt, c'est une bibliothèque qui brûle. On peut le paraphraser en disant, dans le cas de feu Dolmy, que quand un joueur meurt, c'est un stade qui brûle.

Le 27/07/2017 à 22h13