L'éclairage de Adnan Debbarh. La démocratie au Maroc entre oracles et réalités concrètes

VidéoL'évaluation des avancées démocratiques opérées par le Maroc, faite par le Département d'Etat et par le magazine «The Economist», est intéressante et importante. Toutefois, elle souffre d'une pauvreté conceptuelle et ignore les avancées dans les domaines économiques et sociaux.

Le 15/04/2022 à 15h10

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De quel droit la presse étrangère met son nez dans les affaires des autres ? A quelques exceptions, cette presse ne parle jamais ce que le Maroc a réalisé et continue de le faire. J'ai envie de lui ce qui se passe chez nous est notre affaire et ça ne regarde que nous. Les démocraties des urnes, occidentales notamment, n'enfantent depuis un certain temps que des extrémistes. La haine des étrangers, surtout s'ils sont musulmans, est devenue leur seule offre politique. Pourquoi cette presse ne s'intéresserait-elle pas à l'absence de démocratie au sein des institutions internationales ? Ce sont toujours les mêmes qui dirigent la Banque mondiale et le FMI. Ce sont encore les mêmes qui disposent des droits d'ingérence et de véto. Ils ne veulent pas admettre que le monde a plus que changé.

Le royaume a besoins de dahirs. Toutes les lois doivent être incluses dedans. En effet, beaucoup de ministres, de parlementaires ne les respectent même pas.

Cette très longue route minée qui permettrait de faire avancer le Maroc vers une démocratie ne donne à ce jour aucun résultat concret dans les domaines économique et surtout social.. sortir d'une théocratie pour entrer en véritable démocratie doit être voulue avant d'être réalisée à tres longue échéance..

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