Assala Nasri était, le week-end dernier, l’invitée d’une émission artistique sur une chaîne de télévision koweïtienne. Naturelle comme toujours, la chanteuse syrienne n’y est pas allée de main morte. «Certains aiment ma voix, et d’autres n’aiment pas. Mais celui qui n’aime pas ma voix souffre d’une aliénation mentale», a-t-elle dit sans sourciller.
Par Khalid Mesfioui
Le 21/02/2018 à 09h12
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