Tous les articles correspondant à #Violences

Génération Z. Debunk: la vérité sur les «violences policières» lors des premières manifestations
Nées d’un appel anonyme sur les réseaux sociaux, les manifestations portées par des jeunes de la «génération Z», ont rapidement dégénéré dans certaines villes. Derrière l’élan présenté comme pacifique, des groupes violents ont semé le chaos, lundi et mardi 1er et 2 octobre, s’attaquant aux biens publics et privés ainsi qu’aux forces de l’ordre, faisant plusieurs blessés dans leurs rangs. Dix jours après, retour en images sur des événements où les fake news ont débordé sur les faits.
GenZ212: à Berkane, trois individus condamnés à la prison ferme pour violences
Le tribunal de première instance de Berkane a prononcé, lundi 6 octobre, des peines allant jusqu’à deux ans de prison ferme contre trois personnes reconnues coupables de violences liées aux manifestations du mouvement GenZ212. Trois autres prévenus, tous mineurs, ont en revanche été acquittés.
GenZ212: les petits entrepreneurs frappés par le vandalisme réclament justice
De petits entrepreneurs, déjà confrontés aux défis quotidiens, se retrouvent aujourd’hui victimes de vandalisme et de vols qui ont ravagé leurs commerces à travers le Royaume. Face à des pertes lourdes et des projets menacés, ils réclament justice, enquêtes approfondies et aides financières pour sauver leur activité. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Assabah.
Violences à Rabat et Salé: près de 200 personnes présentées à la justice
En marge des manifestations pacifiques de la «GenZ212», une flambée de violences et de pillages a secoué les villes de Rabat et Salé, entraînant une réponse judiciaire d’envergure. Retour sur trois jours d’enquêtes et de mise en cause de près de deux cents individus, dont une proportion significative de mineurs. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Al Akhbar.
GenZ212. Vandalisme et violences: les fauteurs de trouble risquent gros, voici les peines encourues
Les débordements survenus lors des manifestations du mouvement GenZ212 placent leurs auteurs face à des sanctions très lourdes. Selon l’avocat Hussein Bakkar Al-Sabai, le droit pénal marocain prévoit des peines allant de quelques mois de prison à la réclusion à perpétuité, voire à la peine capitale dans les cas les plus graves d’incendie, de vandalisme ou d’atteintes graves aux personnes et aux biens.
GenZ212: l’affirmation d’une conscience citoyenne
Suite aux mouvements de protestation de la «GenZ», un calme relatif est revenu au sein du Royaume. Cette accalmie, interprétée comme un signe de maturité collective, ouvre la voie à une pacification nécessaire et à l’instauration d’un dialogue constructif sur l’avenir du pays. Cet article est une revue de presse tirée d’un éditorial d’Al Akhbar.
Le CNDH alerte sur des appels à la violence ciblant des responsables
Alors que les manifestations de jeunes se maintiennent dans plusieurs villes, le Conseil national des droits de l’Homme alerte contre la montée de discours violents et de menaces visant des responsables de l’État. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Assabah.
L’œil de Gueddar. GenZ212: qui se cache derrière les cagoules des casseurs?
GenZ212. Attaque contre la gendarmerie à Leqliaa: en images, récit d’une nuit où la violence a franchi toutes les lignes
Dans la nuit du 1er octobre 2025, la brigade de la Gendarmerie royale de Leqliaa, préfecture d’Inezgane Aït-Melloul, a été la cible d’une attaque d’une rare intensité. Des individus armés ont tenté de prendre d’assaut les locaux, incendiant véhicules et équipements, obligeant les gendarmes à faire usage de leurs armes pour se défendre. Le bilan: trois morts, plusieurs blessés et une enquête judiciaire ouverte pour faire la lumière sur ces événements dramatiques. Le récit en images.
GenZ212 et violences. Trois morts, 70% à 100% des casseurs sont des mineurs
La flambée de violences urbaines qui a secoué plusieurs villes du Maroc met en lumière un fait alarmant: la participation massive de mineurs dans certains groupes. Porte-parole du ministère de l’Intérieur, Rachid El Khalfi donne les détails.