Le régime algérien, dirigé par la junte militaire, a franchi un cap dangereux dans son hostilité contre le Maroc en fondant ce qu’il appelle le «Parti national rifain» et en le dotant d’une représentation à Alger. Dans cette tribune, l’ancien ambassadeur du Maroc à Alger, Hassan Abdelkhalek, revient sur les dessous de cette nouvelle escalade.