Devant La Brigade, un fonctionnaire crie à l’arnaque. Il se plaint de ne pas avoir reçu ses émoluments la fin du mois passé, l’État ayant décidé de payer les salaires avant l’Aïd. Ce qui était un geste sympathique censé aider à l’achat du mouton est devenu, l’argent s’étant évaporé avec la fumée du Boulfaf, une punition. Pour finir le mois, il faudra racler les fonds de tiroir… et se débarrasser de tout le cholestérol accumulé.