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Le riz local, particulièrement la variété Barabara appréciée pour ses qualités gustatives, est un élément clé de l’économie et un facteur crucial pour la sécurité alimentaire du pays où l’agriculture représente 27,3% du PIB et 80% des revenus en milieu rural. Pour de multiples raisons, ce riz localement produit coûte plus cher que le grain importé.

Face à une chute drastique de sa production rizicole en raison de la sécheresse, le Maroc mise sur l’importation pour sécuriser son approvisionnement en riz cargo. Les détails.

Le ministère de l’Industrie et du Commerce a décidé de suspendre les droits de douane et de la TVA pour encourager l’importation de 55.000 tonnes de riz cargo du 1er janvier et le 31 décembre 2025. Les détails.

À Faranah, ville située à près de 500 km de la capitale Conakry, la culture du riz est l’activité principale. Face à la rareté de la main d’œuvre, les cultivateurs s’organisent en communautés dans une région à vocation agro-pastorale mais dont la valorisation souffre de la faible maîtrise de l’eau.

Les conditions climatiques favorables, les sols fertiles, les pluies abondantes... n’ont jusqu’ici pas été suffisamment mis à profit pour réduire les importations d’aliments et de faire de l’agriculture un levier d’essor économique dans un pays où l’extraction minière reste dominante. Pour inverser cette tendance, certains urbains retournent à la terre.

Plus de 20 ans après des tentatives infructueuses, des chercheurs locaux et des experts sud-coréens se sont lancés dans la production de semences de riz. Cinq ans après la mise en place du premier champ d’expérimentation, la première dégustation vient d’avoir lieu sur le site de Kougouleu à 85 kilomètres de Libreville.

L’arrivée de la saison pluvieuse est pour les paysans une période heureuse mais qui charrie son lot d’incertitudes. Il faut préparer la terre, attendre la pluie et craindre l’intrusion de l’eau salée de l’Atlantique. Entre deux eaux, les paysans s’adaptent.

Pour l’une, c’est l’électricité en bâtiment, et la rizicultrice pour l’autre. Elles sont deux jeunes Mauritaniennes qui exercent dans des secteurs jusque là considérés comme l’apanage des hommes.

En faisant des visites inopinées chez les commerçants des marchés de Niamey, les services du ministère du Commerce s’assurent que le riz est vendu au prix fixé par l’Etat. Un plafonnement motivé par l’envolée de la facture des consommateurs qui s’approvisionnent chez le détaillant