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Dans son discours adressé ce vendredi, le roi Mohammed VI a rendu hommage «à tous les pays qui, par leurs positions constructives et leurs efforts soutenus en faveur du bon droit et de la légitimité» ont soutenu la position du Maroc.

Près d’un demi-siècle après la «marche noire» de décembre 1975, le Collectif international de soutien aux familles d’origine marocaine expulsées d’Algérie (CIMEA-75) relance le dossier devant l’ONU. À Genève, il a présenté un rapport accablant demandant à Alger de reconnaître ses responsabilités, de restituer les biens confisqués et d’indemniser les dizaines de milliers de victimes de cette expulsion massive.

L’accord agricole amendé, récemment conclu par l’UE et le Maroc, représente un tournant stratégique. Il étend pour la première fois les privilèges douaniers aux produits agricoles des régions du Sud, leur garantissant un accès préférentiel au marché européen. Selon l’économiste Zakaria Firano, cette décision est un puissant levier de croissance qui va booster le secteur primaire dans ces provinces. Elle signale une reconnaissance politique forte et ouvre la voie à une nouvelle dynamique d’investissement majeure.

Il n’est pas exclu qu’Emmanuel Macron finisse par apparaître, aux yeux du monde arabe, comme un héros. Le président français qui aura donné un coup d’accélérateur décisif à l’idée de la création d’un État palestinien. Parmi les rares chefs d’État occidentaux, il fut en effet le seul à lancer ce défi singulier à Donald Trump: «Si tu veux vraiment espérer un jour le Nobel de la paix, fais tout pour arrêter la guerre de Gaza.»

La création d’un État palestinien serait un «suicide national» pour Israël, a rapporté vendredi à la tribune de l’ONU le Premier ministre Benjamin Netanyahu, fustigeant les pays occidentaux et promettant de «finir le travail» contre le Hamas à Gaza.

Dans le sillage de la reconnaissance par les États-Unis de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, le gouvernement US annonce qu’il encourage les investissements américains dans les Provinces du Sud.

Le Royaume-Uni et le Portugal doivent reconnaître officiellement dimanche l’État de Palestine, malgré de fortes pressions des États-Unis et d’Israël, à la veille de l’arrivée des chefs d’État pour la grand-messe de l’Assemblée générale de l’ONU.

L’Assemblée générale de l’ONU se prononce vendredi sur la «Déclaration de New York», visant à redonner un nouveau souffle à la solution à deux États, israélien et palestinien, tout en excluant sans équivoque le Hamas.

À quelques jours de l’Assemblée générale de l’ONU, la Belgique a annoncé qu’elle reconnaîtrait l’État de Palestine, rejoignant ainsi la France, le Canada ou encore l’Australie. Une décision historique, assortie de conditions et de sanctions contre Israël, qui reflète l’intensification des pressions internationales face à la guerre à Gaza et à la crise humanitaire qui en découle.