Tous les articles correspondant à #Olive

L’unité moderne de trituration d’olives de Guercif a contribué au développement du secteur oléicole dans la région de l’Oriental. Outre sa capacité de production, cette structure se distingue par son intégration, proposant aux oléiculteurs les services de stockage et de conditionnement. Reportage.

Le ministère de l’Industrie et du Commerce a lancé un avis aux importateurs d’huile d’olive en suspension du droit de douane, dans le cadre du quota de 10.000 tonnes fixé par le gouvernement.

C’est de l’olivier que l’Oriental tire une grande partie de sa richesse agricole. La filière oléicole y représente une source de revenus essentielle pour de nombreux agriculteurs et contribue significativement à l’économie régionale.

Les oléiculteurs sont à pied d’œuvre pour commencer la récolte des olives dans la région de Fès-Meknès, défiant la baisse du rendement et la volatilité des prix. Reportage.

Avec la succession de ces dernières années de sécheresse, la production d’olives au Maroc est entrée dans un cycle de déclin. Cette année, seuls 950 millions de tonnes devraient être produites, soit 11% de moins que l’année dernière. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Afrique, monde, politique, culture, médias, société, sport ou people... Retrouvez, dans ce nouveau numéro du Zapping Le360, le meilleur de vos vidéos de la semaine.

Les oléiculteurs de la région de Ketama lancent un cri d’alarme: la saison en cours pourrait être la pire jamais enregistrée dans l’histoire locale. Une récolte désastreuse se profile pour les oliviers, comme l’ont confié plusieurs agriculteurs interrogés par Le360. Ces inquiétudes se confirment sur le terrain, où notre visite a révélé l’ampleur du problème.

Au Maroc, la filière oléicole va mal. En cause: six années de sécheresse, un climat de plus en plus inexorable et des coûts de production qui explosent. Décryptage.

La situation des produits oléicoles est jugée catastrophique par les opérateurs et l’huile d’olive sera vendue, la saison prochaine, à 150 dirhams le litre si rien n’est fait. Le ministère de la tutelle réagit. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.