Avocate au Barreau de Paris, Me Aïcha Ansar-Rachidi revient dans cette tribune sur la récente grâce dont Taoufik Bouachrine, Souleimane Raissouni et Omar Radi ont bénéficié. Pour elle, il n’a jamais été question d’amnistie pour les concernés, vu la gravité des faits. L’intérêt des victimes aujourd’hui est qu’elles soient dédommagées de leur préjudice, aussi grave et profond soit-il.