Tous les articles correspondant à #banques

Le trio de tête des banques marocaines enregistre une forte croissance en 2024, portée par leurs activités au Maroc. Les investissements dans les infrastructures et la transition écologique ont été les principaux moteurs de cette performance, contrastant avec un recul des résultats en Afrique subsaharienne. Cet article est une revue de presse tirée de Jeune Afrique.

Les banques françaises, comme Crédit du Maroc et Société Générale Maroc, cèdent leurs filiales marocaines en raison de la concurrence accrue des banques nationales, plus réactives et adaptées aux réalités économiques du pays. La gestion centralisée depuis Paris et des politiques financières restrictives ont limité leur compétitivité. Cet article est une revue de presse tirée de Finances News.

Le projet de création d’un «pôle financier public» revient sur le devant de la scène. L’Agence nationale de gestion stratégique des participations des participations de l’État (ANGSPE) a lancé une consultation en vue de sélectionner un cabinet pour l’accompagner dans la réflexion sur une réorganisation du périmètre financier public. L’étude devra notamment évaluer l’opportunité et la faisabilité de la création d’une banque publique d’investissement.

La Banque populaire maroco-centrafricaine (BPMC) a inauguré un bâtiment scolaire au lycée de Damara, en République centrafricaine, en présence de son président Faustin-Archange Touadéra.

Le secteur bancaire marocain confirme sa robustesse et son potentiel de développement, selon le dernier rapport de Fitch Ratings. L’agence prévoit une hausse notable de la rentabilité des banques en 2025 et 2026, soutenue par un contexte opérationnel favorable et des réformes structurelles prometteuses. Une revue de presse tirée de Finances News.

À fin septembre 2024, l’encours en matière de découvert bancaire atteignait 9 milliards de dirhams, avec une croissance annuelle moyenne de 5% sur la dernière décennie. Un coup de main vital pour de nombreux ménages, mais coûteux en agios et commissions. Cet article est une revue de presse tirée de Challenge.

L’amnistie fiscale visant à régulariser les avoirs liquides non déclarés a permis d’intégrer des montants significatifs dans le circuit bancaire. Bien que cette amélioration soit notable, elle reste néanmoins fragile. Le déficit structurel de liquidité du secteur bancaire demeure une source d’inquiétude. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Les avoirs déclarés dans le cadre de la récente amnistie fiscale, estimés à 125 milliards de dirhams, renforcent de manière substantielle la liquidité bancaire. Comment les banques devront utiliser de façon optimale ces dépôts exceptionnels au profit de l’économie? Explications avec Taïb Aisse, expert en finance et en économie.