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Après quatre mois de détention arbitraire, et à l’issue d’un procès de pacotille, les verdicts sont tombés: tant la condamnation de Boualem Sansal -à 5 ans d’emprisonnement- que son statut d’otage de la relation franco-algérienne, écartent toute hypothèse de libération inconditionnelle.

L’expulsion du vice-consul marocain à Oran par le régime militaire algérien serait une tactique visant à détourner l’attention de ses propres problèmes internes, des tensions qui agitent le pays et des échecs qu’il aurait rencontrés dans ses confrontations avec diverses nations. Cet article est une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

L’émission «L’œil du 20 heures», diffusée dans le cadre du journal télévisé sur la chaîne publique française «France 2», a diffusé le 27 mars la deuxième partie d’une enquête consacrée à la manière dont le régime algérien tente de faire taire ses opposants installés en France. On y apprend notamment que le régime d’Alger a essayé de marchander la libération de l’écrivain Boualem Sansal.

Errahma: des bonbonnes de gaz explosent et font une dizaine de blessés en plus de gros dégâts matériels; La CNSS sur le point de lancer une procédure digitalisée qui remplacerait à terme la fameuse feuille de soins; OpenIA fait le buzz avec un outil qui transforme les photos en créations inspirées des œuvres du dessinateur japonais Miyazaki; L’écrivain franco-algérien Boualem Sansal condamné à 5 ans de prison ferme. Round-up.

La «justice» algérienne a condamné ce jeudi à cinq ans de prison ferme l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, en détention depuis novembre 2024. Une condamnation à mort compte tenu de l’âge de l’auteur, 80 ans, et de son état de santé, Sansal souffrant d’un cancer de la prostate.

L’ancien secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a publié un communiqué niant avoir tenu des propos offensants à l’encontre du Royaume, suite à des allégations mensongères qui lui ont été attribuées par des médias et des sites à la solde du régime militaire algérien. Une revue de presse tirée d’Al Ahdath Al Maghribia.

Après avoir coupé les ponts et provoqué des crises avec la France et l’Espagne suite à leur reconnaissance de la marocanité du Sahara, le régime algérien a été contraint d’adopter une approche plus conciliante. Il s’est désormais résigné à maintenir des relations normales avec ces deux pays, en admettant qu’ils ne reviendront pas sur leur décision. Une revue de presse d’Al Ahdath Al Maghribia.

Ils sont six, figés sur un billet de banque, glorifiés comme pères fondateurs de l’Algérie moderne. Mais derrière l’image d’Épinal se cachent le sang, la trahison, la terreur. Krim Belkacem, et d’autres avant et après lui, furent éliminés comme des traîtres. Un livre-enquête implacable de Farid Alilat, préfacé par Kamal Daoud et publié chez Plon, dévoile les mécanismes des crimes d’État perpétrés à l’époque de Houari Boumediene, toujours dissimulés dans le récit national.