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Porté par une dynamique exceptionnelle, le Maroc signe un record historique de ses exportations de mandarines et clémentines vers l’Allemagne. Avec 8.200 tonnes expédiées pour plus de 12 millions de dollars, le Royaume double sa part de marché en un an, et se hisse parmi les quatre principaux fournisseurs du pays.

La production d’agrumes devrait atteindre 1,9 million de tonnes pour la campagne 2025-2026, soutenue par des aides publiques et la diversification des marchés. Toutefois, le stress hydrique continue de peser sur la taille des fruits, limitant l’exportation des calibres les plus demandés. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

Le Maroc s’impose comme un acteur incontournable sur le marché canadien du pamplemousse. Malgré une baisse globale de la consommation de cet agrume au niveau mondial, le Royaume a réussi à doubler ses exportations vers le Canada durant la campagne 2024-2025, établissant un nouveau record historique.

Confrontée à des défis majeurs liés au climat, à l’eau et aux marchés, la filière agrumicole marocaine cherche aujourd’hui à se réinventer. À l’occasion du premier Congrès national des agrumes, professionnels, chercheurs et décideurs ont dressé un état des lieux sans concession et identifié les leviers à actionner pour garantir la pérennité d’un secteur clé de l’agriculture nationale. Une revue de presse, tirée du quotidien Les Inspirations Éco.

Le Maroc vise à diversifier ses marchés d’exportation d’agrumes en ciblant le Japon, un marché stratégique et exigeant. Un premier envoi a été validé, suivi d’une mission d’affaires à Tokyo et d’une campagne de communication. Cette initiative s’inscrit dans l’objectif d’atteindre 1 million de tonnes d’exportations d’ici 2030. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien Les Inspirations Eco.

La clémentine de Berkane devrait réaliser une récolte record au cours de la campagne agricole 2024-2025, dopant ainsi la production d’agrumes dans le bassin de la Moulouya qui devrait s’élever à 192.300 tonnes. Reportage.

Le dérèglement climatique, qui devrait faire augmenter la température moyenne de 4,8°C et baisser les précipitations de 36,4 % de la normale actuelle d’ici 2050, fragilise davantage l’agriculture dans un pays à l’extraordinaire diversité des paysages. Même la verdoyante Kindia n’a pu résister aux assauts du soleil.

Les mandarines restent le moteur principal des exportations, représentant 83% des volumes prévus, soit environ 500.000 tonnes. Les oranges suivent avec une part de 15%, tandis que les citrons complètent l’offre. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.

Baisse des volumes de production, rareté de l’eau, risque de pertes de marchés à l’export, vieillissement du verger… Les agrumes paient un lourd tribut. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Economiste.