Vidéo. Découvrez la nouvelle trémie de Harhoura, désormais ouverte à la circulation

La nouvelle trémie de Harhoura, qui vient d’être ouverte à la circulation, n’aura nécessité que 4 mois de travaux.

La nouvelle trémie de Harhoura, qui vient d’être ouverte à la circulation, n’aura nécessité que 4 mois de travaux. . DR

Le 14/05/2021 à 19h01

VidéoLa nouvelle trémie de Harhoura, permettant de désengorger la circulation dans cette station balnéaire vers les plages du sud de la capitale, a été ouverte à la circulation, a constaté Le360, ce vendredi 14 mai 2021.

Cette nouvelle réalisation, dont le maître d'ouvrage est la wilaya de la région de Rabat et concrétisée par la société Témara Aménagement et la municipalité de Harhoura, a nécessité des travaux de moins de quatre mois.

A la demande du wali Mohamed El Yacoubi, qui a veillé en personne sur les travaux, deux grandes sociétés nationales de travaux publics ont travaillé jour et nuit pour édifier ce bel ouvrage, le premier du genre dans toute la province de Témara.

Ce projet s'inscrit dans le cadre d'un vaste chantier de restructuration et de réalisation de routes, de parkings, de ponts et d'embellissement des abords des plages à Harhoura. Le montant total des investissements à Harhoura s'est élevé à 400 millions de dirhams.

Il n'y a pas que Harhoura qui a bénéficié de travaux de restructuration. La wilaya a ouvert d'autres chantiers d'infrastructures de base, à Témara, l'une des plus grandes villes de la région. Les avenues et les artères ont été embellies et élargies (trois voies sur trois) comme celles de Tarek Ibn Ziyad, du roi Mohammed VI et des boulevards reliant Témara et la station balnéaire de Harhoura.

Des efforts ont également concerné l'installation d'un nouvel éclairage public, la rénovation des trottoirs et la modernisation des réseaux d'eau potable. Mais, la ville de Témara souffre toujours d'autres problématiques liées à la salubrité, à la sécurité et à la présence des bidonvilles. Les habitants invitent la municipalité à œuvrer davantage pour débarrasser la ville de trois bidonvilles, dressés en plein centre, et qui figurent parmi les plus grands du Maroc.

Par Mohamed Chakir Alaoui et Ayoub Laassiri
Le 14/05/2021 à 19h01