Sur décision de Nabila Rmili: à Casablanca, gaspiller de l'eau désormais sanctionné

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Gaspiller l'eau potable à Casablanca est désormais passible de sanctions. Le Conseil de la ville interdit plusieurs agissements, dont l’arrosage des espaces verts publics et privés, le lavage des véhicules et des engins avec de l’eau potable ou par des jets à haute pression, ainsi que le nettoyage à grande eau des rues, avenues, et trottoirs.

Le 04/08/2022 à 12h59

Depuis hier, mercredi 3 août, gaspiller de l’eau potable dans les espaces extérieurs à Casablanca est passible de sanctions. Une décision signée par la maire de la ville, Nabila Rmili, confirme son adjoint Ahmed Afilal Al-Idrissi, interrogé par Le360.

«Cette mesure a été prise car la situation de stress hydrique à Casablanca est vraiment alarmante. Les ressources en eau potable disponibles actuellement s’amenuisent au fil des jours et la situation est réellement critique», a souligné celui qui est également le responsable du département de l’hygiène au Conseil de la Ville de Casablanca.

Dans un communiqué diffusé ce jeudi 4 août 2022, la commune de Casablanca exhorte donc la population locale à l’utilisation optimale des ressources hydriques, «l’objectif étant de faire face au stress hydrique que connaît le Maroc du fait de la faiblesse des précipitations ayant conduit à une pénurie des retenues des barrages et des nappes phréatiques», précise un communiqué.

Dans ce contexte, la Commune de Casablanca a décidé, à partir du 3 août 2022, d’interdire tous les agissements conduisant au gaspillage de l’eau, notamment l’arrosage, en journée, des espaces verts publics et privés, le lavage des véhicules et des engins avec de l’eau potable ou par des jets d’eau à haute pression, ainsi que le nettoyage à grande eau des avenues, rues, espaces publics, zones résidentielles et divers commerces.

La commune de Casablanca précise aussi qu’il est interdit d’utiliser des lances anti-incendie pour l'alimentation en eau, et les projections d’eau dans la voie publique.

Par Nisrine Zaoui
Le 04/08/2022 à 12h59

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Il faudrait plutot mobiliser des equipes pour faire imposer le repos agricultural d'un an dans la region, pour que les nappes phreatiques se renouvellent (au moins celles de surface). Can ne couterait pas grand chose de faire des rondes et bloquer ou saisir les pompes des puits, ou au minimum installer des compteurs et n'autoriser le pompage que pour les forages homologues qui ont un compteur consultable sur place ou a distance.

Il fallait le faire bien avant, et dans tout le Maroc

les piscines ,on ferme les yeux,les bains deux fois par jour,les riches ,ils ont de quoi payer,les pauvres peinent jour et nuit pour nourrir leurs enfants, les gaspillages,tiens ,tiens, et les centaines de milliers d'élèves qui abandonnent l'école,c'est quoi,des milliards de dh perdus et on n'en parle pas, et les milliers de tonnes de pastèques et melons ,c'est de l'eau,chers non vendus car les pauvres ne peuvent se payer une dalaha de 10 kg ,le gaspillage,le gaspillage,et voilà les gros ont peur de voir leur piscine luxueuse vide,mais non ,les gros ventres iront prendre l'eau en mer pour remplir leurs piscines, les islamistes ont trompé les électeurs,les gros ventres serrent les vices sur les pauvres,tu votes,tu auras soif!

Bonjour à tous, Mais il y a encore des lavages qui travaillent encore de 09 h 30 du matin jusqu'à 09 h du soir, avec un jet d'eau d'une grande pression et travaillent avec l'eau du puits et l'eau de lydec. faites un tour à Oulfa près de rond point Chahdia. Le constat "malheureusement" est là.

Ce midi sur Rabat devant une grande villa au Souissi d'une très très haute personnalité et comme disait Dieudonné : au-dessus c'est le soleil , bref , l'eau coulait à flot parterre et même les gardiens lavaient la route devant la villa avec des centaines de litres d'eau qui partaient dans tous les sens , évidemment ils peuvent faire ce qu'ils se veulent, les gueux non !

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