Le régime militaire algérien semble déterminé à exécuter ses numéros piteux de cirque politique au vu et au su des Africains et de tous les pays du monde. Des acrobaties infantiles qui lui ont valu les railleries de tous les observateurs sur la scène internationale, rapporte Assabah du lundi 26 août.
Preuve que les généraux d’Alger ont épuisé tout leur stock de manœuvres dilatoires sur lesquelles ils comptent pour sortir de la série de défaites diplomatiques qu’ils subissent depuis bien longtemps.
Lors de la conférence de TICAD, un membre du Polisario, qui n’était pas invité à ce forum, s’est introduit sur le sol japonais avec un passeport diplomatique algérien. Il s’est faufilé dans la salle de conférence en cachant un présentoir portant le nom de sa pseudo république dans son porte-document, avant de s’infiltrer parmi les participants pour le déposer sur la table.
Cette scène d’entrisme réduit à la potion congrue cet enfant illégitime (Polisario) qui a été mis au monde par l’Algérie dans l’obscurité de la nuit et qu’elle tente de parrainer dans les forums de la coopération africaine avec le monde. Sauf que le le pays hôte (le Japon) a été, comme à son habitude, très ferme devant la frivolité des dirigeants de l’Algérie.
Le responsable japonais a affirmé que l’intrusion du polisarien avec une identité algérienne à cette réunion ne signifiait pas la reconnaissance de la légitimité de cette entité illégitime. C’est comme si le ministre murmurait à l’oreille des Algériens que toutes leurs manœuvres écervelées ne donneraient aucune légitimité à leur entité fantoche.
La scène infantile de Tokyo en rappelle une autre toute aussi risible du régime militaire algérien qui avait décidé d’infiltrer Brahim Ghali dans un hôpital en Espagne, avec un faux nom et une identité algérienne pour lui éviter d’être épinglé par la justice de ce pays qui le poursuit pour des crimes graves contre l’humanité.